Avec un Chris Jones de gala, l’ASVEL surclasse Orléans

Deux jours après sa victoire en EuroLeague sur le parquet du Panathinaïkos Athènes (84-70), l’ASVEL retrouvait le championnat. Ce dimanche à l’Astroballe, les hommes de T.J. Parker ont pu compter sur un excellent Chris Jones pour s’imposer face à Orléans (99-74).

Diot et Lacombe en parfaits lieutenants

Dès le début du match, les Villeurbannais se montraient très efficaces. Portée par un très bon Chris Jones (27 points à 10/12 aux tirs, 5 passes décisives et 2 interceptions pour 32 d’évaluation), l’ASVEL comptait 13 longueurs d’avance à l’issue d’un premier quart temps parfaitement maîtrisé (27-14). Dans le dur dans cette première période, Orléans s’appuyait sur un jeu en transition efficace pour refaire un peu son retard (36-24, 14′). Les joueurs de Germain Castano pouvaient compter sur un duo Marcus Paige (11 points et 1 rebond pour 10 d’évaluation) – Youssou Ndoye très inspiré (22 points et 9 rebonds pour 17 d’évaluation) pour rester au contact des Rhodaniens, un peu plus en difficulté offensivement dans ce deuxième quart-temps (40-36, 17′). Dans le sillage de Chris Jones intenable, les Villeurbannais accéléraient de nouveau juste avant la mi-temps et rejoignaient les vestiaires avec 12 longueurs d’avance (50-38, 20′).

La deuxième période débutait comme la première pour les Rhodaniens qui continuaient de faire la course en tête et de bien gérer leur match. Discret dans les 20 premières minutes de la rencontre, Antoine Diot (11 points et 5 passes décisives pour 15 d’évaluation) et Paul Lacombe (14 points à 100%, 4 rebonds et 3 passes décisives) participaient lui aussi au festival offensif villeurbannais (62-49, 25′). Ce dimanche, rien ne pouvait arriver aux joueurs de T.J. Parker tant la réussite est au rendez-vous. Les Orléanais se retrouvaient sans solution face aux attaques répétées des Rhodaniens. A 10 minutes du terme, l’ASVEL menait très largement (80-61, 30′).

Le plus dur était pour l’ASVEL après trois quart-temps de très grande qualité, à tel point que T.J. Parker se permettait de faire tourner son effectif. Les Villeurbannais géraient tranquillement leur avance et s’imposaient dans les grandes largeurs (99-74), donnant même l’occasion à T.J. Parker d’accorder 21 minutes de temps de jeu à Victor Wembanyama (6 points à 3/10, 8 rebonds et 5 contres). Prochain rendez-vous pour l’ASVEL, jeudi en EuroLeague face à Kazan, toujours à l’Astroballe.

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