Logo Bebasket
Recherche
Recherche
Logo Bebasket
  • À la une
  • Betclic Élite
  • Pro b
  • National
  • Coupes d'Europe
  • Équipe de France
  • Jeunes
  • Féminines
  • Interviews
  • Hooper
  • Camps

Erman Kunter menacé à Cholet ? « Non, nous n’en sommes pas là », assure le président

Avec 9 victoires et 18 défaites, Cholet Basket est quinzième de Jeep ELITE. Les Maugeois n’ont qu’une défaite de moins que le premier non relégable, Roanne. Surtout, l’équipe d’Erman Kunter enchaîne les mauvaises performances, aussi bien sur la forme que le fond. Alors que plusieurs clubs à la lutte pour le maintien ont fait le choix de changer d’entraîneur (Elan Béarnais, BCM Gravelines-Dunkerquer et Elan Chalon), Cholet Basket ne compte pas les imiter annonce le président du club Jérôme Merignac dans Ouest-France.

« Non, nous n’en sommes pas là. On connaît les joueurs qui composent cette équipe, les valeurs intrinsèques des personnes. On est déçu, je ne peux pas le nier, mais nous sommes trop loin dans la saison. Il nous reste sept matches, c’est un mini-championnat qui se présente à nous. On est parti en opération commando, le staff en est conscient, les joueurs en sont conscients. On en a discuté. Là-dessus, il n’y a pas photo ! On sait qu’on a des joueurs avec de la fierté, de l’honneur, et ils se doivent de le montrer vis-à-vis de nos supporters, nos partenaires et tous ceux qui nous suivent. Cette fois, c’est à Limoges, mais je peux vous assurer que samedi contre Bourg, on va montrer un autre visage à nos supporters. »

Erman Kunter : « Je prends sur moi, même si c’est très facile de critiquer »

Interrogé par Le Courrier de l’Ouest, Erman Kunter dit ne pas être résigné et ne jamais avoir pensé à démissionner.

« Jamais. Si le club ou le président veut que j’arrête, moi j’arrête, il n’y a pas de problème. Mais on n’a jamais parlé de ça, et je veux me battre jusqu’au bout. On va tout faire. Je prends sur moi, même si c’est très facile de critiquer, de parler sur ceux qui jouent ou pas. C’est partout comme ça quand une équipe n’est pas bonne. On fait deux entraînements par jour, je passe huit heures par jour à la salle, et c’est sans doute plus facile de se faire un avis en regardant juste un match à la télé. Sauf qu’il peut y avoir des éléments liés à la semaine d’entraînement, des blessures, des joueurs beaucoup plus productifs contre certains types d’adversaires, d’autres qui ne le peuvent pas. On fait des plans, parfois des mauvais, sans doute. »

Quoi qu’il en soit, la victoire est impérative ce mardi à Limoges. Sinon, la pression sera encore plus grande sur les épaules des joueurs, du coach et du président à cause du danger de la descente.

Commentaires


Veuillez vous connecter afin de pouvoir commenter ou aimer
Connexion