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Les meilleures anecdotes des 10 ans de Catch & Shoot / BeBasket : Une équipe C&S au Quai 54 (4/10)

En juin 2012 nous est venue l’idée de monter une équipe pour le tournoi de référence mondiale du basket de rue, le Quai 54. Après un message passé sur Twitter et Facebook, nous avons été surpris par le nombre de retours de joueurs de haut-niveau. C’est ainsi qu’une équipe composée d’Anthony Christophe, Jérémy Nzeulie, Xavier Gaillou, Bassa Doumbé, Romain Grégoire, Miguel Buval, Rudy Deal, Namory Boundy renforcée par… votre serviteur – qui ne s’est pas trop permis d’entrer en jeu cependant, se contentant de gérer les rotations avec Julien Dalcanale, autre représentant de la rédaction – s’est inscrite auprès des organisateurs. N’oublions pas Nianta Diarra, alors Espoirs au STB Le Havre, qui devait rejoindre l’équipe le lendemain en cas de qualification.

Soudain, Jérémy Nzeulie prend feu

En tant que nouvelle équipe, la formation composée à l’impoviste par Catch & Shoot devait passer par les qualifications. Le vendredi matin, elle s’est donnée rendez-vous aux aurores à la Halle Carpentier, dans le 13e arrondissement de Paris. La matinée a démarré par une défaite mais la densité de niveau a permis à notre équipe de parvenir à jouer la première place, la seule qualificative pour le tournoi principal, le lendemain, sur un le dernier match de la journée. Face à une bonne partie du Stade de Vanves, qui avait l’habitude d’évoluer ensemble, la rencontre a été disputée. Très disputée même ! Un « and one » de Namory Boundy a donné l’avantage à C&S. Puis Jérémy Nzeulie, un an avant ses exploits de Coubertin avec Nanterre en finale des playoffs de Pro A, a planté deux banderilles à 3-points. Switch ! Sauf que celui qui sortait d’une saison à Bordeaux en Pro B a perdu deux balles avant la ligne médiane pour permettre aux « Aviateurs » de recoller. C’est finalement un coup du sort qui a changé notre belle aventure en échec : un coup de sifflet a donné sur la dernière action deux lancers francs à un joueur de l’équipe adverse, qui, malgré la brise, a mis les deux pour donner la victoire et la qualification aux siens.

Catch & Shoot n’a donc pas goûté au grand événement, sur les terrains, le lendemain. Certes, trois membres de la rédaction étaient sur place pour couvrir le tournoi, mais impossible pour moi même d’accéder à l’événement : il n’y avait plus de places. Dommage.

Les meilleures anecdotes des 10 ans de Catch & Shoot / BeBasket :

À lire demain : Quand Damian Lillard assurait la promotion de C&S (5/10)

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