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T.J. Parker (ASVEL) : « On n’existera pas en EuroLeague si on ne défend pas »

Après la victoire de jeudi dernier à Vitoria, on pensait de l’ASVEL la saison lancée en EuroLeague. Les réceptions de l’Etoile Rouge de Belgrade (2 victoires et 4 défaites avant la rencontre) ce mercredi en match en retad de la 4e journée puis du Zénith Saint-Pétersbourg (2 victoires et 1 défaite) semblaient deux bonnes opporunités pour rééquilibrer un bilan de 1 victoire et 3 défaites. Mais après un début de rencontre réussi (21-17 après un quart-temps) avec notamment un Allerik Freeman enfin adroit, l’équipe de T.J. Parker a encaissé 27 points dans le deuxième quart-temps. Ainsi, à la pause, le coach a pu demander à son équipe d’être plus agressive défensivement. « Ils ne peuvent pas marquer 27 points en un quart-temps. Ce n’est pas possible ! »

Et pourtant, l’équipe rhodanienne a encaissé 45 points après la pause, finissant la partie à -21 (68-89) alors qu’ils n’étaient qu’à -5 à la pause (41-46). « 89 points (encaissés). Pas de combat… » C’est ainsi que T.J. Parker a d’abord lapidairement commenté la performance de son équipe en conférence de presse, avant de répondre plus en détails :

« Ce n’est pas qu’en deuxième mi-temps (qu’on n’a pas défendu), ça commence en première encore une fois. On fait des stops, on défend bien pendant 20 secondes mais quelqu’un oublie son joueur qui coupe backdoor (dans le dos). On ne se bat sur les  »loose balls » (les ballons qui trainent, NDLR), (qui sont censées être) 50-50, les rebonds offensifs… Dès qu’on a touché un peu après au banc, ils ne sont pas prêts. En deuxième mi-temps, ils en voulaient plus que nous. Le mot que j’ai mis sur le tableau en dernier, c’est  »FIGHT » (combat). Il faut se battre quand on est comme ça, on ne l’a pas fait.

Ca ne me dérange pas de perdre mais quand on ne donne pas tout sur un terrain, son orgueil c’est d’y aller à fond. Défensivement il faut y aller… L’EuroLeague on n’existera pas si on ne défend pas. Ce (mercredi) soir, ce n’est pas possible. »

Malgré tout, le coach ne se dit « pas spécialement » inquiet.

« On a un match vendredi, il faut se concentrer sur celui-là maintenant. Il faut tourner la page, les matchs comme ça, ça arrive. Ils ont été bons, on n’a pas été bons. Par contre il faut sonner l’alarme. On a des matchs – Saint-Pétersbourg vendredi, Berlin, l’Olympiakos… – qu’il faut qu’on gagne si on veut exister en EuroLeague. »

Le groupe est désormais sous pression.

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