Tony Parker : « Il n’y a pas de panique à avoir »
Avant de s’imposer contre l’Élan béarnais ce dimanche, l’ASVEL a signé cinq défaites de suite. La dernière, vendredi chez le Panathinaikos Athènes, a été plus qu’inquiétante avec 29 points de retard à la fin du troisième quart-temps chez une équipe qui n’est pas attendue en playoffs. Cette série et l’abattage de critiques envers le club et son entraîneur T.J. Parker a entraîné la prise de parole du président Tony Parker dans Le Progrès :
« Pour moi, il n’y a pas de panique à avoir. J’ai du mal à comprendre la réaction des gens. C’est marrant parce que, si nous gagnons les matches contre Belgrade, Dijon et le Bayern, que nous contrôlions, nous sommes cinquièmes en EuroLeague et quatrièmes en Betclic (ELITE) et je ne serais même pas devant vous ce soir. Mais quand vous êtes l’ASVEL, il faut s’exprimer. Pour moi, il y a zéro panique. L’équipe doit continuer à progresser. »
Pour lui, la lourde défaite chez le Panathinaikos Athènes est un simple accident.
« Au Pana, je pense que nous étions fatigués. Nous avons laissé beaucoup d’énergie à Belgrade, à Dijon, perdre contre le Bayern a dû mettre un coup de massue sur la tête des joueurs et, au Pana, nous n’avons pas vu le vrai niveau de notre équipe. Ça arrive… »
Quant aux renforts potentiels, TP assure que Parker Jackson-Cartwright, dans le dur en EuroLeague, n’est pas en danger et que s’ils continuent de regarder le marché pour un intérieur supplémentaire, aucune opportunité n’est bonne à saisir actuellement. « Il n’y a pas urgence« , répète le boss, peu touché par les critiques.
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