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Ousmane Dieng (MVP des finales) et Olivier Sarr champions de G-League avec OKC

G-League - Ousmane Dieng, élu MVP des finales, et Olivier Sarr ont remporté le titre de champion de G-League 2024. OKC Blue s'est imposé 117 à 100 lors de la belle chez les Maine Celtics.
Ousmane Dieng (MVP des finales) et Olivier Sarr champions de G-League avec OKC

OKC Blue pose avec son trophée de champion de G-League 2024.

Crédit photo : OKC Blue

Pour la première fois depuis son installation à Oklahoma City, le Blue a remporté le titre de champion de G-League*. Ce lundi 15 avril, la franchise affiliée au Thunder d’Oklahoma City a remporté la belle (100-117) sur le parquet des Maine Celtics. Comme un symbole, la saison régulière du Blue avait démarré par deux défaites chez ces mêmes Maine Celtics, et surtout avec neuf défaites lors des onze premiers matches.

Ousmane Dieng MVP des finales

Mais OKC s’est relevé, aussi bien dans sa saison que cette finale. Ousmane Dieng a marqué le panier de la victoire en quarts de finale de conférence Ouest puis il a brillé lors de la belle. Maladroit sur le match 1, meilleur sur le match 2, il a fini meilleur marqueur du match 3. Auteur de 25 points à 9/14 aux tirs, dont 5/6 à 3-points, 6 rebonds, 4 passes décisives et 2 contres, le Lot-et-Garonnais a été élu MVP de cette finale dominée du début à la fin par le Blue (63-40 à la pause). Auteur de 13 points la veille en NBA, Ousmane Dieng a retrouvé son équipe en confiance.

Présent aux côtés d’Ousmane Dieng depuis la saison dernière, le pivot français Olivier Sarr a terminé en double-double sur cette belle (10 points à 2/6, 13 rebonds, 2 passes décisives et 2 contres). Après avoir célébré le premier trophée de leur carrière professionnelle, Ousmane Dieng et Olivier Sarr vont retrouver le Thunder qui s’apprête à lancer les playoffs NBA dans la peau du n°1 de la conférence Ouest.

Ousmane Dieng va lui espérer trouver un rôle en NBA aussi important que Pascal Siakam, le MVP des finales 2017 de G-League avec les Raptors 905. A moins qu’il ne prenne le chemin d’une carrière comme celle de Nick Johnson, MVP des finales 2018, et désormais joueur de Cholet Basket.

*Avant de déménager à Oklahoma City en 2014, la franchise avait remporté les titres en 2004 et 2005 lorsqu’elle était localisée à Asheville, en Caroline du Nord, qu’elle s’appelait l’Altitude et que la G-League s’appelait la D-League. 

Commentaires


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derniermot
Intéressant en tout cas de voir ce que le Thunder compte faire de lui l'annee prochaine Il sort de trois saisons de formation décousue (Australie + 2 ans de G League) mais in situ plutot qu'une vraie formation, à voir si ça va payer sportivement (financierement il y a gagné à court terme). Espérons pour lui car il vient de perdre trois ans de carrière, espérons pas pour rien
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thegachette
Je pense qu'il a eu une vraie formation, ça bosse dur je pense, ils sont super bien entourés, gros staff NBA, grosses installations... Il aura aussi beaucoup joué, entre la Gleague où il peut jouer libérer et avoir des responsabilités et des paysages en NBA... Il a pu progresser... Il manque sûrement un peu l'aspect de jouer dans vrai collectif et une vraie compétition... A lui maintenant de se faire une vraie place à OKC, il y a un peu de place en rotation sur les postes 3/4... La vraie question pour moi est plutôt à t'il les qualités d'un joueur de complément : défense et shoot ou le niveau d'un vrai joueur d'impact... Et c'est là que j'ai l'impression qu'il sera entre les 2...
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