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« C’était la finale rêvée » : la joie non dissimulée de Tony Parker après le triplé de l’ASVEL

Un de plus ! En venant à bout de l'AS Monaco après prolongation lors du match 5 des finales de Betclic ÉLITE (84-82), l'ASVEL a réalisé le premier triplé depuis 32 ans. Retrouvez les réactions de William Howard et de Tony Parker ci-dessous.
Crédit photo : Infinity Nine Media / Arthur Viguier

Tony Parker (président de l’ASVEL) : « Quelle finale ! C’était la finale rêvée entre les deux meilleures équipes de France, deux équipes d’Euroligue. J’ai rarement vécu un tel match. Chaque action comptait. Gagner un troisième titre d’affilée, c’est très très dur. Je suis vraiment fier de cette équipe qui n’a rien lâché. On était menés 1-0, 2-1. La façon dont on a gagné le match 4 à Monaco et revenir pour gagner le match 5, c’était incroyable. Les joueurs savent quand ils viennent à l’Asvel qu’ils sont là pour gagner des titres. On continue cette belle tradition.

« C’est dommage car on pouvait rêver de Top 8 d’EuroLeague avec cette équipe »

Faire un three-peat dans notre pays, c’est très rare. C’est seulement la 3e fois que ça arrive. J’ai toujours eu confiance dans cette équipe. Perdre ce quart de finale de Coupe de France (contre Gravelines Dunkerque) a été un mal pour un bien : ça a permis de remobiliser l’équipe et on a terminé très fort. On savait que c’était très important de terminer premiers de la saison régulière et c’est toujours mieux jouer un match 5 à domicile. On a eu des blessures et c’est regrettable. On démarre la saison d’EuroLeague avec 6 victoires et 2 défaites : c’est dommage car on pouvait rêver de Top 8 d’EuroLeague avec cette équipe. C’est une motivation supplémentaire pour les années à venir : on veut toujours devenir l’une des meilleures équipes d’Europe mais notre objectif principal reste le championnat de France. Le projet avance, on essaie d’améliorer le budget, la nouvelle salle arrive en 2023, tout cela va nous permettre de grandir. »

 

William Howard : « C’était vraiment un gros match mentalement. C’est le genre de rencontre qu’on rêve de jouer quand on est petit alors les gagner… Je n’ai pas les mots. Je suis juste heureux d’avoir remporté le titre et d’écrire une page de l’histoire du club, ça fait aussi plaisir. On a raté le coche en Coupe de France et on se devait de gagner le titre pour ne pas faire une saison blanche.

« Quand je contre Paris Lee, c’est l’instinct qui parle, pas la tête »

Le 4e quart-temps est fou, il se passe tellement de choses dans vos têtes mais vous ne réfléchissez pas. Tu prends une action après l’autre. Tu te dis qu’il faut faire un stop car sinon ça va être tendu… On démarre bien, ils reviennent… C’est fou. Quand je contre Paris Lee, c’est l’instinct qui parle, pas la tête. Gagner des titres, ça s’apprend : c’est comme tout. Et c’est ce que j’ai fait ici. »

À Villeurbanne,

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