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Transfert NBA : à 38 ans, Jeff Green vise un dernier contrat, pour le plaisir et l’histoire

À 38 ans, le vétéran des Rockets ne veut pas raccrocher tout de suite. Il vise les 20 saisons, espère rester au Texas et incarne mieux que quiconque l’idée d’un départ sur ses propres termes.
Transfert NBA : à 38 ans, Jeff Green vise un dernier contrat, pour le plaisir et l’histoire

Apr 9, 2025; Inglewood, California, USA; Houston Rockets forward Jeff Green (32) dunks in the second half against the Los Angeles Clippers at Intuit Dome. Mandatory Credit: Kirby Lee-Imagn Images

Crédit photo : © Kirby Lee-Imagn Images

Deux décennies sur les parquets ? Jeff Green n’a pas dit son dernier mot

Alors que la plupart des joueurs de sa génération ont depuis longtemps rangé les sneakers, Jeff Green, lui, continue d’avancer. Drafté en 2007, il fait partie des derniers représentants de sa cuvée, aux côtés de Kevin Durant, Mike Conley ou Al Horford.

À 38 ans, il affiche un objectif aussi clair que rare : atteindre les 20 saisons en NBA. “Il m’en reste deux”, explique-t-il simplement. Ce cap, il ne veut pas l’atteindre pour battre un record ou engranger un dernier chèque. Il souhaite simplement aller au bout d’un cycle, fidèle à son amour du jeu.

Pourtant, la dernière saison fut particulièrement discrète : 32 matchs, 5,4 points en 12 minutes de moyenne, et à peine cinq minutes jouées durant les playoffs. En somme, la campagne la plus effacée de sa carrière. Mais malgré tout, il veut continuer.

Pourquoi ? Parce qu’il en a encore l’envie. Parce qu’il aime l’entraînement, le vestiaire, l’odeur des parquets. “Je suis encore passionné. Tant que je peux jouer, je veux rester là.”

De joueur à mentor : Jeff Green embrasse son nouveau rôle

Au fil des ans, Jeff Green est devenu bien plus qu’un simple joueur. Aujourd’hui, il incarne cette figure précieuse dans une franchise : le vétéran modèle, celui qui ne parle pas fort, mais qu’on écoute.

Dans un effectif jeune, il s’impose comme un repère. On le surnomme “Uncle Jeff”, non pas à cause de son âge, mais pour la sagesse qu’il dégage. Son rôle n’est plus de planter des points, mais de montrer l’exemple, de transmettre, et parfois de désamorcer les tensions.

Libre cet été, il est prêt à signer un contrat minimum, sans aucune garantie de temps de jeu. Ce qu’il demande, c’est une place. Un rôle. Et la possibilité de clore sa carrière là où il se sent enfin chez lui.

La balle est dans le camp des Rockets : vont-ils lui offrir son ultime contrat ?

Libre cet été, Jeff Green est prêt à accepter un contrat minimum pour prolonger l’aventure. La question est désormais simple : Houston veut-elle garder un vétéran exemplaire, même pour un rôle de mentor ? La décision pourrait en dire long sur les ambitions et la culture que les Rockets veulent installer.

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