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Tony Parker : « Avec T.J., on savait très bien que ce jour-là allait arriver »

Betclic ÉLITE - En conférence de presse, Tony Parker a expliqué les raisons du changement de coach à l'ASVEL, avec le choix Gianmarco Pozzecco pour remplacer T.J. Parker.
Tony Parker : « Avec T.J., on savait très bien que ce jour-là allait arriver »
Crédit photo : Antoine Bodelet

Venu en conférence de presse à l’Astroballe ce jeudi matin, Tony Parker est d’abord revenu sur la décision de mettre un terme au mandat de son frère, T.J., arrivé en bout de cycle à la tête de l’équipe villeurbannaise. Au micro de BFM Lyon, le président villeurbannais a indiqué que son cadet « respectait sa décision ».

« Bien sûr que ça a été difficile [de se séparer de T.J.]. On a une relation fusionnelle avec mes frères alors ça n’a pas été facile. Il était déçu, il aurait voulu participer au redressement du club, mais il respecte ma décision. On savait très bien que ce jour-là allait arriver. Ça fait partie de la vie d’un coach. D’habitude, ils font 2-3 ans et changent de club. C’est très rare ceux qui font plus de 10 ans dans le même club. Popovich est une exception à la règle. Avec ses années d’assistant, T.J. a fait 12 ans à l’ASVEL et c’est assez long. Il a lancé sa carrière, il a gagné des trophées, il a eu une expérience incroyable en EuroLeague et j’ai hâte de voir ce qu’il va faire par la suite. Il va pouvoir voler de ses propres ailes. France, Europe, NBA, je ne sais pas où il va rebondir, on verra ce qu’il va décider et j’ai hâte de voir.

Tony Parker a ensuite détaillé les raisons de l’arrivée de Gianmarco Pozzecco. Sans cacher que le sélectionneur italien est une option par défaut, après la vraie-fausse arrivée de Gordon Herbert, finalement retenu par la fédération allemande, la légende des Bleus a exprimé tout son espoir de voir l’éruptif transalpin secouer une équipe amorphe jusque-là. Dès vendredi face à la Virtus Bologne ?

Ce qui m’a vraiment drivé dans cette décision est d’avoir un électrochoc. Je pensais qu’il était temps de changer et qu’on rentre dans une nouvelle ère. J’avais vraiment l’impression que c’était le bon moment. Quand je vois l’ambiance et la nouvelle énergie qu’il y a avec l’arrivée de notre nouveau coach, je pense qu’on a fait le bon choix. C’est clair qu’on ne va pas s’ennuyer avec lui (il rit). Vous connaissez les noms qu’il y avait sur ma liste. Je voulais quelqu’un qui puisse être dans l’humain et essayer de trouver les mots justes pour relancer la machine. Clairement, notre équipe ne joue pas à son niveau. Elle est bien plus forte que ça. Pour l’instant, on a du mal, c’est peut-être un petit problème de confiance. Je voulais un coach capable de mettre un coup de pied dans la fourmilière pour faire bouger les choses. On était rentré dans un mood où on enchaînait les hauts et les bas, on se prenait des raclées à Saint-Quentin ou à Belgrade. On a un coach connu pour être très proche de ses joueurs. J’ai eu une grosse discussion avec Ettore Messina avant de l’engager. J’espère qu’il va réussir à tirer le meilleur de nos joueurs afin qu’ils évoluaient à leur meilleur niveau.

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