Sa transition de joueur à coach, ses ambitions avec la Chorale de Roanne, le passage de la Jeep Élite de 18 à 16 clubs en 2020 : parole est donnée à Laurent Pluvy dans Basket Le Mag.
La volonté des supporters de Roanne de retrouver l’élite
«Il y a une vraie ferveur, on la sent les soirs de match. Et même dans la ville, on sent que les gens vibrent pour la Chorale. La ferveur sera d’autant plus grande et belle si on est en Jeep Élite. On sent vraiment que la Pro B, ce n’est pas ce qui les intéresse. Ça leur permet de voir du basket, et ils sont derrière ce groupe, ils viennent quand les matchs sont intéressants, il y a de plus en plus de monde à Vacheresse, c’est une évidence, mais ils attendent vraiment la Jeep Élite, ils veulent la retrouver.»
Avec la Jeep Élite ramenée à 16 en 2020, la pression pour monter dès 2019 ?
«Il y a une part de vérité, mais en même temps, la saison prochaine, il y aura trois descentes de Jeep Élite à Pro B, donc il ne faudra pas être dans la charrette non plus ! Et surtout, on n’est pas les seuls. Si on avait un budget surdimensionné par rapport aux autres, on dirait : «Oui, on n’a pas le droit de se louper». Mais on est avec Orléans et Nancy, avec un budget moindre que ces clubs-là. C’est un combat où il y a une place pour ces trois équipes. Ce qui ferait mal, c’est que ce soit comme la saison dernière, une autre équipe qui prenne cette place. Ce serait dérangeant pour tout le monde. Si c’est une de nous trois, c’est la logique qui est respectée, et on ne peut pas dire qui va monter.»
Un budget à la hausse
«On a une autre force financière qu’il y a trois ans, quand je suis arrivé. Le club a eu de grosses difficultés avec la descente et les dettes qui allaient avec, il a fallu les épurer. Je crois qu’on a fini de les payer la saison dernière. Donc aujourd’hui, on est revenu sur une page neuve. Et il y a un soutien populaire, on a des commerciaux qui ont fait évoluer la partie sponsoring privée de façon incroyable en deux, trois ans. Je ne suis pas inquiet pour l’avenir si on devait monter en Jeep Élite. On a encore plein d’investisseurs qui sont derrière nous et n’attendent qu’une chose : que l’on monte, pour venir nous aider. Roanne sera capable de se doter d’un budget intéressant pour faire bonne figure dans l’élite si on y arrive. »
L’intégralité de l’interview est à retrouver dans le dernier numéro de Basket le Mag :
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