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Thomas Scrubb se verrait bien s’installer à Strasbourg à plus long terme

S’il y a bien une satisfaction parmi les recrues de la SIG Strasbourg cette saison, c’est l’ailier Thomas Scrubb (1,98 m, 28 ans). Le Canado-Britannique bouche de nombreux trous depuis le début de saison. Souvent repositionné sur le poste 4 en raison des manques dans l’effectif alsacien, ce shooteur gaucher est très propre (12,5 points à 59,8% de réussite aux tirs dont 41,3% à 3-points, 4,5 rebonds, 1,9 passe décisives, 1,2 balle perdue et 2,5 fautes provoquées pour 15,6 d’évaluation en 28 minutes). L’ancienne vedette de l’Université de Carleton, programme universitaire de référence au Canada, n’est pas venu seul à Strasbourg. En effet, il est marié à une autre basketteuse de haut-niveau, Catherine Traer, qu’il a rencontré à Ottawa durant son cursus universitaire. Celle-ci ne joue pas pour autant pour la section féminine (où est salariée une autre Canadienne de renom, Stephany Skrba) dont l’équipe 1 évolue en Ligue 2 Féminine.

Dans l’épisode 6 du podcast « Entre-Deux », ils reviennent sur leur parcours et leurs aspirations. A cette occasion, le couple envisage fortement de trouver un club dans lequel ils puissent s’installer. Et pour la Québécoise (de Chelsea, à côté de Gatineau) comme le natif de Montréal, Strasbourg semble être une belle option.

« Pour l’instant je ne suis jamais resté plus d’un an dans la même équipe donc c’est difficile de se projeter. On en a parlé, on aimerait trouver un endroit où on pourrait rester plus d’un an et fondé une famille tout en avançant sur nos projets (Thomas Scrubb souhaite faire des études de médecine après sa carrière, NDLR). Pour l’instant, ça n’a pas été facile. J’entame la deuxième partie de ma carrière. On commence à s’organiser en privilégiant une équipe stable à un grand club pour que notre famille puisse s’agrandir.

Bien sûr, on adore la ville (de Strasbourg), on aimerait beaucoup pouvoir y rester plus de deux ans même si bien sûr le basket a été très compliqué cette année. Il faut attendre cet été, voir ce qu’il se passe au niveau de l’organisation. C’est certain qu’il va y avoir de gros changements donc on est dans l’attente de voir ce qu’ils vont prévoir. En terme de niveau de vie, on serait très heureux d’avoir la chance de rester à Strasbourg. »

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