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Pascal Donnadieu a quelques regrets : « Nous nous sommes précipités quand nous avons pris l’avantage »

Dimanche, Nanterre s’est incliné 91 à 72 à Villeurbanne pour le match 1 de la demi-finale des playoffs de Jeep ELITE. Les Franciliens ont subi d’entrée l’impact physique et l’intensité des locaux, avant de s’ajuster, revenir et même mené. Avant de prendre un éclat juste avant la mi-temps et de ne jamais parvenir à vraiment recoller en deuxième mi-temps.

« Malgré un début poussif nous sommes bien revenus et j’ai quelques regrets, parce que nous nous sommes précipités quand nous avons pris l’avantage, admet l’entraîneur vaincu dans Le Progrès. Nous aurions peut-être pu alors les faire douter, mais nous avons fait quelques mauvais choix. Mais il est clair que, sur la durée du match, avec les rotations qu’ils ont et, en fin de saison, ils nous impactent beaucoup. »

Pour parvenir à embêter l’ASVEL, Nanterre aura besoin de l’impact de chacun de ses joueurs. Mais plusieurs ont eu du mal, comme Haukur Palsson (3 points à 1/6 aux tirs), Hugo Invernizzi (3 points à 1/3 en 27 minutes) ou encore Demetrius Treadwell (4 points à 1/5 et 4 rebonds en 18 minutes).

« Il faudrait que tout le monde soit au maximum de ses possibilités face à un tel effectif mais, malheureusement, cela n’a pas été le cas ce (dimanche) soir, regrette le technicien francilien. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir un ou deux joueurs à 60 ou 80% de leurs possibilités. Nous avons fait un match courageux, nous n’avons pas été très loin, mais trop loin. Il n’y a pas de surprise. Villeurbanne est un rouleau compresseur. Leur parcours, depuis le début de la saison, n’est pas un hasard. »

A voir si Nanterre arrive à s’affirmer un peu plus mardi soir pour le match 2, toujours à l’Astroballe.

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