Lionel Gaudoux, l’ancien joueur de départementale devenu sparring-partner de l’équipe de France !

Lionel Gaudoux sera le partenaire d’entraînement de l’équipe de France lors des prochains jours à l’INSEP !
Alors que l’EuroBasket 2025 débutera dans un peu plus d’un mois à Katowice, le 28 août face à la Belgique, l’équipe de France s’est réunie ce jeudi midi à l’INSEP pour un premier rassemblement dédié principalement aux tests médicaux et aux entretiens individuels avec le staff.
C'est la reprise, 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗲 𝟭 🤩#TeamFranceBasket | #PassionnémentBleu | #EuroBasket pic.twitter.com/ml6cGuq2ZI
— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) July 24, 2025
Sont présents au bois de Vincennes les 18 joueurs présélectionnés pour le championnat d’Europe, ainsi qu’un petit nouveau, Lionel Gaudoux (1,98 m, 30 ans), l’irréprochable intérieur de l’Élan Chalon (10,3 points à 54%, 5,1 rebonds et 1,8 passe décisive de moyenne en Betclic ÉLITE).
« Si j’arrive à intégrer les Bleus pour une fenêtre,
ce serait énorme ! »
Les joueurs NBA ayant interdiction de s’entraîner collectivement avant le 30 juillet, Frédéric Fauthoux a choisi de faire appel à l’ancien gardien de foot en tant que partenaire d’entraînement pour le stage parisien, qui s’étendra jusqu’à mardi prochain.
Une étape de plus dans la folle ascension de l’intérieur bourguignon, qui s’apprête à découvrir la Coupe d’Europe avec l’Élan alors qu’il a attendu ses 17 ans pour démarrer le basket. De l’excellence départementale avec l’Est Val d’Oise Basket jusqu’à l’équipe de France, Lionel Gaudoux aura donc désormais connu toutes les strates du basket français !
De quoi le motiver à franchir le cap supérieur, celui de devenir international, donc de porter le maillot bleu en match, un objectif qu’il s’était déjà fixé pour la saison 2025/26. « Si j’arrive à intégrer les Bleus pour une fenêtre internationale, ça serait un truc énorme », confiait-il récemment au Journal de Saône-et-Loire. « Vraiment. Quand je commence le basket, personne ne voit mon nom inscrit sur le maillot de l’équipe de France. Cette saison, si on avait mieux démarré, j’aurais peut-être eu l’opportunité. Parce qu’individuellement, j’avais commencé fort statistiquement. Et puis, parfois, tu croises des mecs contre qui tu joues et tu te dis : “Pourquoi pas moi ?” Ça te motive. »


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