Les New Zealand Breakers ne vous disent probablement pas grand chose. Même si ce club a récemment fait parler de lui aux États-Unis en recrutant R.J. Hampton, un des tous meilleurs lycéens de son pays (probable top 5 de la prochaine draft) préférant s’exiler en Océanie et bouder la NCAA. Pourtant c’est peut-être au sein de cette équipe que Joakim Noah (2,11 m, 34 ans) pourrait poursuivre sa carrière. Parmi les agents libres cet été, « Jooks » a réussi son retour à la compétition avec Memphis après avoir été mis de côté par New York. Mais cette information est à prendre bien sûr avec des pincettes, le pivot français étudiant d’abord les propositions de franchises NBA. Et il en a.
The @NZBreakers are trying to convince Joakim Noah to play in Australia’s @nbl next season, league sources say, with Breakers owner Matt Walsh — Noah’s former collegiate teammate — leading the recruitment
— Marc Stein (@TheSteinLine) 13 juillet 2019
Mais pourquoi un club situé à l’autre bout du monde ferait les yeux doux au double All Star (2013, 2014) et ancien meilleur défenseur de la ligue (2014) ? L’atout de poids se nomme Matt Walsh, propriétaire du club. Ex-joueur américain passé par Lyon/Villeurbanne en 2010/11, Walsh était le coéquipier de Noah à l’Université de Florida. L’idée est de proposer un plan similaire à ce qu’a connu Andrew Bogut au printemps dernier. Le pivot aussie avait effectué toute la saison chez les Sydney Kings, terminant par la même occasion MVP et meilleur défenseur de la NBL (National Basketball League), avant de rejoindre les Golden State Warriors pour la fin de saison et les Playoffs NBA.
Affaire à suivre…
À lire aussi
Commentaires