
Le basket français attire de plus en plus d’attention, tant pour la qualité du jeu que pour les rémunérations offertes aux joueurs professionnels. Comme dans le football, les salaires varient beaucoup selon le championnat et le club.
Les stars qui évoluent en Betclic ÉLITE, par exemple, touchent des revenus impressionnants, tandis que les joueurs des clubs plus modestes restent sur des montants plus raisonnables. Dans cet article, nous vous présentons un panorama clair des salaires dans le basket français en 2025.
TOP 5 des joueurs les mieux payés dans le basket français
Le basket français compte plusieurs joueurs qui touchent des salaires impressionnants, principalement dans la Betclic ÉLITE et certains clubs participant à l’Euroleague. En 2025, les rémunérations varient fortement selon le club, l’expérience et la notoriété des joueurs.
Voici le TOP 5 des basketteurs français les mieux rémunérés :
- Mike James (Monaco) : 2 000 000 €
- Nando De Colo (ASVEL) : 1 500 000 €
- Jordan Loyd (Monaco) : 1 200 000 €
- Joffrey Lauvergne (ASVEL) : 1 000 000 €
- John Brown III (Monaco) : 900 000 €
En dehors du top 5, il y a aussi des joueurs comme Donta Hall, Alpha Diallo et Paris Lee qui perçoivent également de gros salaires. Ces chiffres montrent clairement l’écart entre les clubs qui disposent de ressources importantes et ceux misant sur la formation ou des budgets plus modestes.
Comme le disait Vince Lombardi : « Le prix du succès est le travail acharné, le dévouement et la persévérance. »
Dans le basket, bien choisir son club et s’investir pleinement est la clé pour maximiser son potentiel et sa carrière.
Des salaires très confortables en Euroleague
L’Euroleague attire les stars du basket français et même des anciens joueurs NBA chaque année. Avec des salaires allant de 1 à 5 millions d’euros par saison en 2025, elle s’impose comme un véritable eldorado pour les basketteurs.
Les clubs qui donnent le plus de salaires aux joueurs
Le Real Madrid et le FC Barcelone dominent financièrement l’Euroleague, avec des budgets dépassant les 40 millions d’euros par saison. Ces clubs proposent souvent des rémunérations qui peuvent atteindre 5 millions d’euros pour leurs stars, comme Walter Tavares ou Mario Hezonja. À Monaco, Mike James et Nick Calathes sont également parmi les mieux rémunérés.
Leurs contrats dépassent 1 à 2 millions d’euros par an. Ces équipes misent sur des joueurs d’expérience capables d’apporter un impact immédiat et de porter leurs couleurs vers le Final Four.
Un écart salarial marqué entre les clubs
Toutes les équipes de l’Euroleague ne jouent pas dans la même catégorie. Alors que certains clubs disposent de sponsors d’autres comme l’Alba Berlin ou l’Étoile Rouge de Belgrade ne peuvent proposer que des salaires plus modestes.
Ces chiffres tournent autour de 400 000 à 700 000 € par an. Ces différences expliquent pourquoi les stars internationales se concentrent dans une poignée de clubs. Elles laissent les formations plus modestes pour miser sur de jeunes talents prometteurs ou sur des joueurs en quête de relance.
La D1 française, 13ème championnat le plus rémunérateur au monde
En matière de salaires, la première division française de basket ne joue pas encore dans la même cour que les géants européens. Une étude menée en 2020 a révélé que la D1 hexagonale se classait au 13ᵉ rang mondial des championnats les plus rémunérateurs. Sur le plan européen, elle occupe la 8ᵉ place, derrière des ligues plus prestigieuses comme la Serie A italienne, l’A1 grecque, la BBL allemande ou encore la Winner League israélienne.
Cette position reflète une réalité économique. Les clubs français ont des budgets plus modestes et s’appuient davantage sur la formation et la montée en puissance de jeunes talents. Malgré cela, la D1 continue d’attirer des joueurs étrangers en quête de visibilité et d’opportunités.
Comme le disait Michael Jordan : « Le talent fait gagner des matchs, mais le travail d’équipe et l’intelligence font gagner des championnats. »
Cette phrase illustre bien la philosophie des clubs français.
De la même manière que la France peine à rivaliser avec les plus grandes ligues européennes, les joueurs cherchent aussi à maximiser leurs gains, et pas seulement sur le terrain. Les passionnés de jeux en ligne, eux aussi, sont en quête d’opportunités lucratives.
Il cherchent notamment des plateformes de casino à cashout rapide qui permettent de retirer ses gains sans délai. Ce type d’avantage attire de nombreux joueurs, à l’instar des salaires élevés qui attirent les basketteurs vers les championnats plus riches.
Le salaire des basketteurs en NM1 et NM2
En NM1, les disparités salariales sont notables. Les têtes d’affiche de ce championnat peuvent atteindre des rémunérations allant jusqu’à 6 000 euros par mois. Cependant, la majorité des joueurs perçoivent bien moins.
D’après l’expert Lewis Constable, un bon basketteur de troisième division française peut espérer gagner entre 2 500 et 4 000 euros mensuels, selon son expérience. Derrière ces chiffres, on retrouve aussi des contrats plus précaires pour de jeunes joueurs, qui doivent souvent jongler entre passion et incertitude professionnelle.
En NM2, championnat semi-professionnel, les écarts sont encore plus visibles. Certaines équipes parviennent à rémunérer tous leurs joueurs correctement. Mais dans d’autres clubs, seuls un ou deux éléments touchent un vrai salaire.
La majorité des joueurs doivent donc exercer une autre activité professionnelle en parallèle. Le basket devient alors un complément de revenus, grâce à des indemnités de frais, des primes de match ou encore des aides ponctuelles.
Comme l’affirme Tony Parker, l’une des figures du basket français : « Le travail paie toujours, même si parfois cela prend du temps. »
Cette phrase résonne particulièrement dans ces divisions où la passion supplée parfois au manque de moyens.


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