La WNBA est arrivée au « meilleur des moments » pour Monique Akoa-Makani

Monique Akoa-Makani était titulaire en finales WNBA pour sa première saison dans la Ligue.
Une saison en WNBA et déjà titulaire en finale avec le Phoenix Mercury. Cette année, Monique Akoa-Makani (1,79 m, 24 ans) a réalisé le grand saut, en passant de la Boulangère Wonderligue avec Charnay à la WNBA avec Phoenix. La Franco-camerounaise est revenue chez nos confrères de First Team sur sa trajectoire unique, elle qui était au départ venue aux Etats-Unis “pour deux semaines” de camp d’entraînement.
𝗠𝗢𝗡𝗜𝗤𝗨𝗘 𝗔𝗞𝗢𝗔 𝗠𝗔𝗞𝗔𝗡𝗜, 𝗟'𝗘𝗡𝗧𝗥𝗘𝗧𝗜𝗘𝗡 🎙
Pour ce nouvel entretien, on a eu le plaisir d'accueillir une finaliste WNBA 2025 : Monique Akoa Makani, meneuse de jeu du Phoenix Mercury ! Un entretien passionnant où la jeune camerounaise nous parle de son… pic.twitter.com/vKQLXqr7iS
— First Team (@FirstTeam101) November 2, 2025
Pour elle, la WNBA « est arrivée au moment où » elle s’y « attendait le moins ». Longtemps bloquée en Ligue 2 féminine, Monique Akoa-Makani reconnaît que son objectif de jouer en WNBA s’était éloigné. Cette opportunité, finalement, est survenue comme une surprise totale après une grosse saison en La Boulangère Wonderligue ; mais elle a toutefois su la saisir. Pour sa saison rookie, Monique Akoa-Makani boucle l’exercice 2025 de WNBA avec 7,5 points, 2,3 rebonds, 2,8 passes décisives en 22 minutes de moyenne, et 52 matchs joués jusqu’à la finale perdue face aux Las Vegas Aces (4-0).
Questionnée sur son rôle et sur la manière dont elle a réussi à s’imposer dans le cinq de départ après des blessures dans l’équipe, la finaliste de WNBA a souligné que ce sont ses qualités athlétiques et surtout sa défense qui lui ont permis de se démarquer et de s’installer durablement, dans une ligue composée de fortes attaquantes. “Défensivement, il n’y avait pas meilleure que moi à mon poste”, avance-t-elle tout sourire.
Alors qu’elle va entamer un nouveau chapitre en France avec Bourges avant de signer un potentiel nouveau contrat en WNBA, elle estime avec le recul que son succès en WNBA est arrivé au « meilleur des moments », validant la progression lente mais nécessaire de son développement. « Je n’ai pas été impatiente, mais frustré par moment car j’aspirais à mieux mais trop tôt », relativise l’ancienne espoir de l’ASVEL Féminin.
L’intégralité de son entretien est à retrouver sur YouTube :



























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