Recherche
Logo Bebasket
Recherche
Logo Bebasket
  • À la une
  • Mon actu
  • Matchs
  • Frenchies
  • Mes joueurs
  • Pro Basketball Manager
  • Équipe de France
  • Interviews
  • Quiz
  • CONTACTEZ-NOUS

Malgré le retour de Lessort, Fenerbahçe écarte le Panathinaïkos pour filer en finale de l’Euroleague !

Euroleague - Devant au score pendant toute la rencontre, le Fenerbahçe Istanbul a remporté la première demi-finale du Final Four face au Panathinaïkos (82-76). Malgré le retour de Mathias Lessort, le tenant du titre doit laisser son trophée.
Malgré le retour de Lessort, Fenerbahçe écarte le Panathinaïkos pour filer en finale de l’Euroleague !

Devon Hall a été d’une efficacité redoutable pour Fenerbahçe.

Crédit photo : EuroLeague

À l’Etihad Arena, pour le premier Final Four d’EuroLeague disputé en dehors du territoire européen, deux formations emblématiques de la compétition, le Fenerbahçe Istanbul et le Panathinaïkos ouvraient le bal. L’armada stambouliote a su prendre le pas sur le champion en titre (82-76), trop conditionné aux seules performances de Kendrick Nunn et Cedi Osman.

 

Mathias Lessort de retour mais insuffisant

En avant-match, la rencontre entre le Fenerbahçe et le Panathinaïkos soulevait une incertitude : verra-t-on le retour de Mathias Lessort (2,06 m, 29 ans), blessé depuis décembre dernier après une racture du péroné de la jambe gauche en décembre. Le premier quart-temps a directement soulevé ce doute, avec l’entrée du Martiniquais (7 points dont 5/6 aux LFs, 1 rebond, 1 passes décisive, 1 interception et 1 contre en 14 minutes de jeu). La question de son impact se posait, Lessort y a vite répondu en provoquant immédiatement une faute au poste, puis en contrant un Turc venu tenter sa chance dans son territoire. La présence du Français a limité la casse dans un premier temps pour le club athénien, qui peinait à utiliser ses systèmes offensifs face à des Stambouliotes bien en place.

Les joueurs d’Ergin Ataman tentaient de se ressaisir en attaque et parvenaient occasionnellement à mettre la balle à l’intérieur pour Lessort et Yurtseven, mais les Turcs étaient clairement supérieurs. L’entraîneur Šarūnas Jasikevičius disposait ses joueurs de sorte à verrouiller deux des principales menaces extérieures grecques, Kostas Sloukas et Kendrick Nunn ; alors qu’il mettait ses hommes en position de mis-match en attaque pour creuser l’écart. Qui se révélait finalement assez faible à la mi-temps grâce à un dernier shoot du MVP 2024 dans cette première période (38-33, 20′). 

Kendrick Nunn expulsé

Les exploits de Kendrick Nunn (19 points à 7/15 aux tirs) ont longtemps maintenu en vie le Panathinaïkos, revenu jusqu’à une petite possession d’écart en milieu de 3e quart-temps (45-44, 25′). Sauf que la recrue printanière de Fenerbahçe, Errick McCollum (9 points de ses 13 points dans le QT3), a eu un coup de chaud au bon moment pour replacer ses partenaires devant à l’entame de la dernière période (55-48, 30′). 

Jusqu’au bout, Cedi Osman (22 points) et Jerian Grant (15 points) ont essayé de faire recoller leur équipe au score. Mathias Lessort est renvoyé pour apporter de l’impact, provoquant des lancers cruciaux pour rester dans la rencontre. Mais la cinquième faute de Kendrick Nunn (19 points), synonyme d’expulsion, condamne quasiment les chances du Pana à cinq minutes du terme de la rencontre. Devon Hall, clinique dans cette rencontre, ainsi que Wade Baldwin IV et Errick McCollum, concluent l’affaire pour Fenerbahçe (82-76).

Pas de doublé pour le Panathinaïkos, le Fener en quête d’un second titre

Ainsi, sept ans après leur dernière en finale d’EuroLeague, le Fenerbahçe Istanbul est de retour pour espérer glaner un second titre dans son histoire (après 2017). Battus pour la première fois de la saison par Šarūnas Jasikevičius après avoir remporté leurs deux confrontations en régulière, Ergin Ataman et le Panathinaïkos ne feront pas le doublé après leur victoire à Berlin en 2024.

Commentaires


Veuillez vous connecter afin de pouvoir commenter ou aimer
Connexion
samuel92
Quelle démonstration du Fener qui a largement dominé le Pana. On sent une équipe bien en place même si je pense que Monaco peut les dérégler. Cela donne aussi un peu de crédit à Paris qui a fait jeu égal avec cette équipe 2 matchs sur 3 malgré le 3-0 final.
Répondre
(1) J'aime
samuel92
Par contre, Ataman quand il n'est pas sauvé par le talent de ses joueurs, c'est très pauvre comme coaching. Quelle purge pour le Pana ajd'hui.
Répondre
(1) J'aime