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L’ASVEL encore dans le dur face à Saint-Pétersbourg

Six matchs, cinq défaites. Tel est le maigre bilan de l’ASVEL pour le moment en EuroLeague cette saison. 48 heures après sa grosse défaite contre l’Etoile Rouge de Belgrade (68-89), la formation villeurbannaise n’a pas réussi à retrouver le succès ce vendredi soir contre contre le Zénith Pétersbourg (53-66), signant le plus faible total de points d’une équipe en EuroLeague depuis le Zalgiris Kaunas en avril 2019.

T.J. Parker avait demandé de la défense pour exister en EuroLeague. Il l’a eu. Mais a contrario l’attaque rhodanienne a été indigeste contre Pétersbourg, particulièrement en première mi-temps. A la pause, elle n’avait marqué que 21 points. La faute à 15 balles perdues notamment ! Heureusement, avec agressivité et même envie de bien faire, les locaux étaient toujours dans le match puisqu’ils n’avaient encaissé que 28 points.

Un gros combat mais trop de lacunes

En deuxième mi-temps, les Villeurbannais se sont battus pour revenir, à l’image des anciens Charles Kahudi  (14 points à 5/12 aux tirs et 5 rebonds pour 11 d’évaluation en 30 minutes) et David Lighty (10 points à 4/13 et 4 rebonds pour 4 d’évaluation en 26 minutes). Face à une équipe elle aussi maladroite, ils sont revenus. Il faut dire qu’outre une meilleure tenue de la balle (4 balles perdues après la pause), ils ont par séquence retrouvé un semblant d’adresse (5/17 à 3-points au final), sanctionnant enfin une défense qui venait systèmatiquement aidé à l’intérieur sur Moustapha Fall (10 points à 4/6, 7 rebonds et 4 fautes provoquées pour 13 d’évaluation en 29 minutes). Mais jamais ils n’ont réussi à passer devant. La faute notamment à Will Thomas, dominateur sous les panneaux (14 points à 6/7, 7 rebonds et 3 fautes provoquées pour 24 d’évaluation en 28 minutes).

Et une fois qu’ils ont compris qu’ils ne l’emporteraient pas, à une minute de la fin, les hommes de T.J. Parker ont lâché prise, d’où l’ampleur de l’écart final (-13). Avec sa faible production de la semaine (39 d’évaluation collective ce vendredi soir, contre 80 pour l’adversaire !), l’ASVEL n’a pas le choix : il va falloir l’emporter au minimum une fois la semaine prochaine, à Berlin mercredi et/ou contre l’Olympiakos vendredi.

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