Kevin Love déjà sur le départ : un buyout pourrait l’envoyer dans un gros marché pour finir en beauté

Kevin Love sous le maillot du Heat à la droite de Jimmy Butler
Kevin Love ne devrait pas faire de vieux os dans l’Utah. Selon les informations de Marc Stein, le quintuple All-Star « chercherait activement » un moyen de quitter le Jazz, seulement quelques semaines après son arrivée en provenance de Miami dans le cadre du transfert impliquant également Norman Powell et John Collins.
Kevin Love is looking for pathways out of Utah, per @TheSteinLine
“As for the busy buyout market: Stay tuned. We've already seen Bradley Beal (Clippers), Lillard (Trail Blazers), Ayton (Lakers), Smart (Lakers) and Jordan Clarkson (Knicks) find new teams after securing buyouts… pic.twitter.com/WRs7syNdql
— NBACentral (@TheDunkCentral) August 3, 2025
À bientôt 37 ans, l’ailier-fort vétéran ne compte pas s’inscrire sur la durée dans le processus de reconstruction encore en cours à Salt Lake City. Une position compréhensible pour un joueur d’expérience qui aurait pourtant pu apporter son vécu aux jeunes intérieurs Walker Kessler, Kyle Filipowski et Taylor Hendricks.
Une fin de carrière dans un marché plus glamour
Cette volonté de départ ne signifie pas pour autant que Kevin Love envisage la retraite. Malgré une dernière saison compliquée tant sportivement (5,3 points et 4,1 rebonds sur seulement 11 minutes et 23 matchs) que personnellement avec le décès de son père, le champion 2016 vise toujours la barre des 20 saisons en carrière. Il en compte actuellement 17.
En cas de « buyout » du côté de Salt Lake City, Love pourrait atteindre ce cap dans un plus gros marché. Les rumeurs évoquent notamment son intérêt pour un « marché plus glamour », faisant automatiquement penser à Los Angeles ou New York.
Pour ce Californien d’origine formé à UCLA, les Lakers de son ancien coéquipier LeBron James pourraient constituer une option particulièrement séduisante. Une « dernière danse » aux côtés du King permettrait au vétéran de conclure sa carrière dans un environnement compétitif, loin de la reconstruction qui attend le Jazz dans les prochaines saisons.

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