Généralement, il est difficile de se faire une place dans la cour des grands. Mais la marque californienne débarque avec une shoes solide sur quasi tous les points. Ce modèle KAYO LP2, utilisé notamment par Andrew Albicy (ambassadeur de la marque), a donc des atouts majeurs. Voici le test réalisé par Caso et Kev d’Assist.
Maintien : 3,75/5
Un mesh moulé en 3D qui épouse la forme du pied ? C’est ce que la marque californienne nous promet. En effet, ce matériau est très confortable dès la première mise aux pieds mais il a tendance à se détendre, comme quasi toutes les empeignes que l’on trouve sur le marché !
L’empeigne de la CC KAYO LP2 contient le pied dans la chaussure, mais reste à savoir si cette qualité de maintien ne s’altère pas dans le temps, avec un mesh qui se détend.
Amorti : 3,75/5
La technologie LP2 offre un amorti correct dans tous les domaines de votre jeu. La compression n’est pas extraordinaire, mais elle est présente. Dans cette KAYO LP2, on est proche du sol tout en ayant un minimum de protection. Le système de suspension « wishbone + » se trouvant sous le talon apporte, comme promis, un bon retour d’énergie lors de vos sauts, courses et changements de direction.
Si vous êtes une joueuse ou un joueur souhaitant une tonne d’amorti, cette paire n’est pas faite pour vous. En revanche, si vous souhaitez être proche du sol, avec une chaussure réactive aux pieds et avec un maximum de sensations sur vos sauts, la KAYO LP2 est faite pour vous.
Traction : 4,75/5
Une semelle extérieure inspirée des «dents de requin», voilà la volonté de Crossover Culture pour la traction de la KAYO LP2.
Si, visuellement, il est difficile d’observer ces dents de requin, d’un point de vue performance, l’adhérence de la chaussure est au rendez-vous et prête à mordre tous types de sols.
Style : 4/5
Note globale : 16,25/20
L’avis d’Andrew Albicy, ambassadeur de la marque
Commentaires