ITW Olivia Epoupa : « J’aime sortir de ma zone de confort »

Après la Turquie, Olivia Epoupa a décidé de vivre une autre expérience loin de la France et, par la même occasion, loin de l’Europe : l’Australie. La meneuse de l’équipe de France nous fait part de ses premières impressions après quelques semaines passées avec les Capitals de Canberra.

Comment se passe ta vie nouvelle vie en Australie ?
 
Mon intégration s’est très bien passée. Les gens sont très accueillants et te mettent à l’aise.  Je prends mes marques au fur et à mesure, je m’y sens bien. Je suis déjà très emballée  de pouvoir découvrir ce magnifique pays à tous les niveaux.
 
Quelles ont été tes motivations pour partir là-bas ?
 
J’étais ouverte à toutes les possibilités qui se seraient présentées, je n’avais pas de préférence particulière dans le choix de mon club. J’ai estimé que le projet présenté par les Capitals était le choix le plus adapté et pertinent pour mon évolution en tant que joueuse. Il s’agit d’un nouveau défi pour moi, j’aime sortir de ma zone de confort, l’inconnu ne me fait pas peur. Je suis très enthousiaste à l’idée de pouvoir découvrir un nouveau  championnat et de nouveaux modes de fonctionnement. Je me suis engagée pour une saison on verra par la suite.
 
Quelles sont tes premières impressions sur ton club, et le championnat ?
 
C’est une ligue (Women National Basketball League) qui se professionnalise de plus en plus. Pour mon expérience, mon club est professionnel à tous les niveaux. Nous avons des sessions individuelles d’entraînements en plus de celles collectives. Je dirai que les séances individuelles consacrées au développement individuel sont un vrai point positif, car il est vrai que certains clubs, ils ne mettent  pas en place ce genre de fonctionnement. En tant que joueuse, nous avons le privilège de pouvoir nous perfectionner individuellement et cela est bénéfique pour notre évolution personnelle.
 
Quel est le style de jeu en général dans la ligue ?
 
C’est un style très intéressant  avec une densité physique importante qui se traduit par des contacts plus durs et une transition de jeu très rapide. Je dirai qu’il y a des similitudes avec le jeu américain dans la façon de se projeter rapidement vers l’avant et en jouant en première intention (tir à 3-points, agressivité offensive…) ajoutée à cela une intelligence de jeu lié au style australien (bon jeu de passes, bon mouvement du ballon, fluidité dans le jeu…).

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Qui a écrit ce papier ?

Rédaction Bebasket

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