Transfert NBA : La franchise qui rêve de Kevin Durant, mais qui pose une condition non négociable…

Kevin Durant avec Team USA
Une idylle naissante entre KD et Houston ?
Cela fait des mois que la rumeur circule dans les couloirs de la NBA : Kevin Durant et les Houston Rockets, ce serait plus qu’un flirt. L’ex-MVP, usé par l’échec de son « Big Three » avec Booker et Beal à Phoenix, voit d’un bon œil une dernière aventure ambitieuse. Et dans le Texas, tout semble s’aligner : un coach respecté (Ime Udoka), une équipe jeune et en pleine ascension, et un collectif à polir.
« J’ai un respect fou pour les équipes qui galèrent, qui draftent intelligemment, qui montent les standards… », expliquait récemment KD. Un clin d’œil à peine voilé à la trajectoire des Rockets. Lui-même le sait : il fut ce jeune affamé à Seattle puis OKC. Et cette mentalité, il la respecte.
Houston, qui a buté sur les Warriors en playoffs, cherche ce coup de boost offensif et ce leadership de fin de match qu’aucun jeune joueur n’incarne encore vraiment. Kevin Durant, malgré son âge et ses pépins physiques, reste un closer redoutable. Mais à quel prix ?
Phoenix prêt à brader KD, Houston refuse de se saigner
Selon The Athletic, les discussions entre les deux franchises sont intenses, continues, presque rituelles. Les Suns veulent récupérer une partie de ce qu’ils ont sacrifié pour faire venir Durant en 2023. Problème : les Rockets ont mis la main sur plusieurs de ces fameux choix de Draft… et Phoenix aimerait les récupérer.
Le scénario le plus évoqué : un échange contre le 10e choix de la Draft 2025 et un jeune joueur. Mais lesquels ? Houston ferme la porte pour Amen Thompson ou Alperen Sengun. En revanche, Jalen Green, dont le statut s’effrite, pourrait être mis dans la balance.
Le hic, c’est la valeur réelle de KD. Entre l’âge (36 ans), les blessures, et un dernier échec collectif, sa cote n’est plus celle de 2022. Et les Rockets, prudents, refusent de sacrifier leur avenir pour une star au crépuscule de sa carrière.
Mais attention : Phoenix, de son côté, semble prêt à faire des concessions. Les exigences baissent, doucement mais sûrement. Et si Houston sent que la balance penche vraiment de son côté, le deal pourrait se conclure plus vite qu’on ne le croit.
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