Anthony Durham – Stella Johnson : un couple qui rayonne dans le championnat de France

Stella Johnson et Anthony Durham vivent leur carrière professionnelle à distance, en France
Anthony Durham et Stella Johnson partagent la même passion, le même métier… et désormais le même pays. La joueuse de La Roche Vendée, auteure d’un excellent début de saison en La Boulangère Wonderligue (14,6 points, 7,3 rebonds et 2,4 passes décisives en 7 matchs), et le meneur-arrière du SCABB profitent pleinement d’une dynamique sportive et personnelle rare pour un couple de basketteurs évoluant chacun à haut niveau.
L’équilibre trouvé en France
Après sa pige réussie à Roanne, Anthony Durham (1,91 m, 31 ans) vit un nouveau départ à Saint-Chamond. Dans Le Progrès, le combo-guard américain dit avoir rapidement adopter la méthode de son coach Julien Cortey, apprécié pour son approche attentive. Le joueur décrit une transition fluide, soutenue par une équipe qui l’a immédiatement intégré. Son rôle est clair : apporter du scoring, de la défense et du leadership à un SCABB ambitieux.
Durham évoque un quotidien simple et motivant, porté par la volonté d’amener le club vers les playoffs. Son discours, tourné vers l’effort quotidien et la progression collective, colle parfaitement au projet stéphanois.
Stella Johnson, une pièce majeure de La Roche Vendée
De son côté, Stella Johnson (1,75 m, 27 ans) s’affirme comme l’une des joueuses majeures du début de saison en Boulangère Wonderligue. L’arrière américaine, polyvalente et impactante, s’est rapidement fondue dans le collectif vendéen. Sa capacité à peser dans tous les secteurs du jeu fait d’elle une valeur sûre du championnat.
Sa présence à plus de 700 kilomètres de son fiancé ne facilite pas la logistique, mais les deux sportifs de haut-niveau ont développé une organisation millimétrée. Les déplacements via Lyon et les breaks dans leurs calendriers permettent au couple de préserver un équilibre précieux.
Un couple de basketteurs qui optimise son parcours
Anthony et Stella ont déjà évolué en même temps en Pologne et en Suède. La France représente une nouvelle opportunité : un championnat de haut niveau pour chacun, une culture qu’ils apprécient, un contexte favorable à leur progression. Ils savourent la chance de mener simultanément leur carrière professionnelle dans un pays où ils se sentent bien.
Le meneur du SCABB souligne l’importance d’avoir à ses côtés quelqu’un qui comprend la réalité quotidienne d’un sportif pro : les bons matchs, les moins bons, les voyages, les enchaînements. Une complicité qui dépasse largement les terrains, nourrie par la découverte de la gastronomie, de la culture française et d’un cadre de vie qu’ils affectionnent.
« On fait des bons matchs ou des mauvais. C’est bien d’avoir quelqu’un qui comprend ça, mais on ne parle pas que de ça ! On parle de vacances… On aime tous les deux la vie en France, la nourriture, la culture… Je voulais venir jouer ici et elle aussi. C’est génial. Je suis heureux », indique Anthony Durham dans Le Progrès.
Une relation qui nourrit deux carrières
Leur force repose sur une compréhension mutuelle et une volonté commune de maximiser leurs trajectoires. Quand l’un joue, l’autre suit à distance. Quand leurs emplois du temps le permettent, ils se retrouvent. Et lorsque les calendriers le permettront, Stella viendra découvrir l’Arena Saint-Étienne Métropole, où Anthony évolue désormais.
Un quotidien partagé entre ambitions sportives, découverte culturelle et soutien réciproque : un duo solide, qui trouve en France un équilibre rare et précieux.

























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