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Paris – JL Bourg : le choc des modèles

EuroCup - Le basket français va vivre un moment historique cette semaine avec une finale européenne labellisée Betclic ÉLITE entre le Paris Basketball et la JL Bourg. Comparatif des deux clubs, avant le Match 2 (ce vendredi à 19h30 à Ékinox).
Paris – JL Bourg : le choc des modèles

Zaccharie Risacher et Leon Kratzer se retrouvent en finale de l’EuroCup à partir de ce lundi pour un affrontement franco-français entre Paris et Bourg-en-Bresse

Crédit photo : Christelle Gouttefarde

Histoire :
Explosion météorique contre tradition locale

Jusqu’en 2014, le développement de la JL Bourg a été freiné par sa salle Amédée-Mercier, dite « Le Hangar » (photo : Vincent Janiaud)

87 ans de basket au sein de la Jeunesse Laïque, seulement 6 années d’existence pour le Paris Basketball… À première vue, deux situations diamétralement opposées. Pourtant, ces deux clubs sont relativement jeunes sur le devant de la scène française. À Bourg-en-Bresse, l’histoire locale est forte, avec une décennie passée à monter de la Nationale 4 à la Pro A (entre 1992 et 2000) avec la même ossature de joueurs français, mais reste une affaire d’initiés. L’équipe bressane n’en est qu’à son 15e opus dans l’élite, n’a participé aux vrais playoffs qu’à deux reprises et découvre l’Europe depuis quatre saisons. C’est toujours deux de plus que Paris, mais les deux clubs restent des novices à l’échelle continentale. Avec un destin un peu lié par cet été 2022 lorsqu’ils avaient défrayé la chronique en obtenant des invitations pour disputer l’EuroCup, alors qu’ils étaient respectivement 11e et 15e de Betclic ÉLITE. Un mérite sportif galvaudé à l’époque mais la vision n’était de toute évidence pas si mauvaise…

C’est sur la dynamique de la progression sportive que les différences se ressentent. Paris a connu une explosion météorique, de son statut de lanterne rouge de Pro B en décembre (1v-8d) à son statut de favori d’une finale européenne. « À ce moment-là, c’est vrai que c’était difficile de s’imaginer qu’on serait en finale d’une Coupe d’Europe », sourit Mathias Priez, salarié de la première heure, directeur général du Paris Basketball.

La JL Bourg a suivi une courbe plus lente, avec quelques accidents de parcours (la relégation en Pro B en 2015, la saison Laurent Legname en 2021/22), mais s’est métamorphosée depuis son premier passage en Pro A au début des années 2000 : le Petit Poucet de l’époque, l’anomalie de la division avec son hangar suranné et ses finances exsangues, est devenu l’un des clubs modèles en France, aux résultats sportifs exceptionnels, le seul Labellisé Or en LNB. « Ce qui est en train d’arriver dépasse la vision de départ », admet le président Julien Desbottes.

Identité
La marque Paris contre la différenciation

Mal-aimé dès son apparition dans le paysage du basket français, à cause de la méthode douteuse du rachat des droits de Hyères-Toulon, le Paris Basketball ne s’en est pas formalisé. « On a tout de suite su que si on voulait réussir, plutôt que de convaincre les personnes très critiques à la base qui ne sont majoritairement pas de Paris, il fallait aller chercher des gens qui ne savent pas du tout ce qu’est le Paris Basketball », expose Mathias Priez. Avec les codes d’une communication très urbaine, très parisienne donc, le club a indéniablement réussi son pari de ce point de vue là.

James Harden et Donovan Mitchell avec les équipements du Paris Basketball, l’un des premiers gros coups de comm’ du club (photo : Paris Basketball)

Très vite, le Paris Basketball a été visible partout. Lors de l’été 2019, les superstars NBA James Harden et Donovan Mitchell s’affichaient avec le logo et le slogan du club sur les playgrounds de Carpentier. « Aujourd’hui, certains de nos produits sont vendus à New York, parce que c’est Paris et Basketball : on se rattache à être une marque au-delà du club sportif. » Et il y a eu tous ces coups marketing : les matchs délocalisés (à Bercy en Pro B dès janvier 2020), la signature du rappeur Sheck Wes dans l’effectif professionnel, etc. « Ça nous a beaucoup apporté en terme de notoriété », affirme Priez.

Sportivement, Paris a aussi rapidement fait du bien au basket français. Oublions l’ubuesque saison 2022/23 sous le management décalé de Will Weaver, le club s’est d’abord fait connaitre comme une pépinière sous l’égide de Jean-Christophe Prat : Sylvain Francisco, Juhann Begarin, Ismael Kamagate, Milan Barbitch, etc, ont tous démarré à Carpentier. « L’accueil a été difficile mais il y a très vite une forme de respect qui s’est établie », souligne Mathias Priez.

À Bourg-en-Bresse, difficile de faire venir un rappeur. Mais la JL a aussi su se démarquer, en travaillant autrement. Le plus bel exemple est la création, en 2012; d’une école de meneurs / arrières. Le centre de formation local se refuse de considérer tous les critères athlétiques, au point d’ouvrir ses portes en 2016 à un adolescent chétif venu de Toulouges, un certain Hugo Benitez. Huit ans plus tard, devenu international, le Catalan jouera une finale de Coupe d’Europe avec son club formateur ! « C’est un vrai contrepied de ce qui se fait », apprécie Julien Desbottes. « On s’interdit de sélectionner par la taille, ce qui n’existe pas dans le basket normalement ! » En 2019, face à l’ASVEL de Matthew Strazel et la JSF Nanterre de Victor Wembanyama, les cadets du regretté Pierre Murtin ont remporté le titre de champion de France cadets, en restant invaincus sur la saison, sans aucun potentiel physique notable dans le lot. Cinq ans plus tard, huit des onze joueurs disposent pourtant d’un contrat pro : Hugo Benitez (JL Bourg), Elian Benitez (Rueil), Vuk Vucevic (Chalon), Corentin Falcoz (Aix-Maurienne), Tom Dary-Sagnes (Pont-de-Chéruy), Hugo Cossé (Andrézieux-Bouthéon), Arthur Simon (Hyères-Toulon) et Maxim Ilvovskiy (Zénith Saint-Petersbourg II) !

Stratégie économique
La fusée Adidas Arena contre le tissu local

26 mars 2012 : officiellement nommé à la tête de la JL Bourg, qui sortait alors de deux saisons sans playoffs en Pro B, Julien Desbottes développe sa vision au micro Radio Scoop de Didier Berthet. « L’axe stratégique, défaut professionnel (il est expert-comptable, ndlr), ce sera de construire un nouveau modèle économique. Il va reposer sur la dilution de nos entreprises, où l’on devra passer une strate supérieure, afin de nous positionner dans la moyenne des masses salariales des clubs de Pro A. Sportivement, on s’est posé beaucoup de question sur le recrutement et la fidélité de nos joueurs et je pense qu’on a trouvé un certain nombre de réponses. Enfin, il y a une chose en laquelle je crois beaucoup : c’est l’identité. Si l’on veut se pérenniser en Pro B, et idéalement en Pro A, il faut absolument une identité de club. Sinon, à Bourg-en-Bresse, on ne s’en sortira pas face à l’ASVEL, Chalon ou Dijon. C’est le modèle d’une entreprise qui se dit qu’il y a de gros concurrents en face et qui cherche sa propre identité pour faire en sorte qu’un jour, les gens viennent à Bourg en se disant qu’il se passe quelque chose là-bas et que les gens sont stables dans leur stratégie. »

Le président Julien Desbottes, à l’issue d’une victoire à Nancy (82-96), en avril 2023 (photo : Lilian Bordron)

Les archives sont parfois cruelles mais en l’occurrence, douze ans après, la réalité n’a pas varié d’un iota par rapport aux promesses de début de mandat. Signataire de sa 40e licence cette saison avec la JL Bourg, Julien Desbottes a tout connu au club : joueur dans les sections jeunes, entraîneur, arbitre, trésorier (à partir de 2002) et président. « On a mise en place une boîte à idées dans laquelle on a collecté des choses venant de tous les horizons et j’ai essayé de mettre ça en forme pour qu’il y ait une ligne directrice », résume-t-il. L’ancien capitaine de l’équipe de Nationale 4 a surtout su s’entourer : il a ainsi confié la responsabilité administrative du club à Fabrice Pacquelet, ex-directeur régional chez Feu Vert, et est allé débaucher Frédéric Sarre du Limoges CSP. « Quand il est venu me chercher, c’est le seul président que j’ai vu arriver avec un document écrit de projet de club », retraçait, l’année dernière, le nouveau GM adjoint de l’équipe de France. « Et pour imager, s’il faisait soixante pages à l’époque, il n’en reste plus que cinq maintenant, quand on compare son contenu avec la réalité actuelle. »

Du ventre mou de la Pro B aux sommets de l’EuroCup, la JL Bourg a emprunté le sentier tracé dès le départ. Forcément, l’entrée dans Ékinox (en 2014) a servi de tremplin. « C’était indispensable », relève Julien Desbottes. « Il fallait en tirer la quintessence. On a donc emprunté 300 000 euros pour compléter l’investissement de l’agglomération sur la partie scénique. Il y a des présidents qui me demandaient pourquoi je ne mettais pas cet argent dans la masse salariale. Sauf qu’en fait, ce n’est pas du tout la même logique. » L’envie de se différencier, déjà, d’envoyer un message fort à son public. Les 2,2 millions d’euros de budget de l’époque se sont transformés en 7,3. Le résultat d’un tissu économique local soudé autour du club, avec 327 entreprises partenaires au sein du club affaires Bourg Basket +, ce qui fait que 49% des recettes (espérées à 8 millions pour cette année) proviennent des sponsors privés (3e de Betclic ÉLITE derrière Dijon et l’ASVEL, 1er en 2022). L’inévitable plafond de verre d’une commune de 40 000 places a été brisé par la création du 1055, un immense complexe de loisirs, fruit du rachat d’une ancienne friche industrielle en 2014 en bordure d’Ékinox. Inauguré en décembre 2019, soit juste avant le Covid, le 1055 affiche des résultats « au-delà de toutes les espérances », dixit Julien Desbottes. 3,7 millions de chiffre d’affaires en 2023, de quoi en faire le plus gros sponsor privé du club, à raison de trois fois plus que les autres partenaires majeurs !

Avec l’Adidas Arena, Paris a basculé dans une nouvelle dimension (photo : Julie Dumélié)

« Avec la JL Bourg, on a des méthodes différentes parce que ce ne sont pas les mêmes territoires », souffle Mathias Priez. « Mais je me sens proche de leur philosophie. On a une conception du club qui dépasse le cadre du sportif, une réflexion sur où est le fan, comment le faire venir tôt à la salle, comment on le garde après. Eux ont un complexe de loisirs à côté, nous on a des espaces dans la salle. » Les deux clubs font partie des plus fournis en terme de ressources humaines, avec la palme pour Paris : une trentaine de salariés sur l’extra-basket. Comme l’institution bressane, le Paris Basketball capitalise 70% de ses recettes sur deux piliers : la billetterie et le sponsoring. Et s’il est plus facile de rayonner localement au sein d’une agglomération comme Bourg-en-Bresse, l’étiquette Paris peut être plus vendeuse en dehors des frontières. Alors le club de la capitale a attiré plusieurs grandes marques internationales : Snipes, Adidas, Marriott Bonvoy… « Notre sponsoring dépasse le cadre de Paris parce qu’on propose une visibilité plus globale », développe le DG. « De par notre modèle et nos ambitions, on se doit d’aller chercher ce type de partenaires internationaux et on a plutôt réussi. »

Mais c’est surtout l’entrée dans l’Adidas Arena, effective depuis février, qui doit permettre au Paris Basketball de basculer dans une nouvelle dimension, en faisant exploser tous ses revenus. « C’est à la fois la terre promise et une formidable opportunité », synthétise Mathias Priez, ajoutant qu’il était impossible d’être rentable au sein de la désuète Halle Carpentier. Les recettes issues des hospitalités et du sponsoring devraient considérablement croitre au cours des prochains mois. « Quand les entreprises locales débarquaient à Carpentier et voyaient le VIP, ça pouvait être compliqué », s’amuse Priez. Débarqué en Betclic ÉLITE en 2021 avec 5 millions d’euros, Paris affiche désormais presque le double, avec officiellement 9,2 millions d’euros sur son compte bancaire. Et tout ça alors qu’il manquait le dernier étage de la fusée !

Perspectives
Les rêves de grandeur contre le plafond de verre

C’est là où la différence se fait réellement sentir. Cela ne reste qu’hypothétique mais pour Paris, cette finale d’EuroCup n’est censée être qu’une étape alors que pour Bourg-en-Bresse, cela ressemble déjà à un aboutissement. Seul club Labellisé Or de toute la LNB, la JL a déjà repoussé de nombreuses limites mais le club va, à terme, se retrouver inévitablement contraint par ses limites géographiques et structurelles (seulement 3 540 places à Ékinox), même si l’enceinte pourrait accueillir 4 300 personnes à terme. « On ne va pas se refuser de gagner des choses juste au motif de se demander comment on va gérer l’après », balaye le président Desbottes. « Si on devait remporter l’EuroCup, ce serait une sur-performance mais pas une anomalie pour autant. La charge sera de continuer à relever les challenges. Bien sûr que ce sera forcément plus facile de décevoir les gens une fois qu’on continuera à atteindre ces niveaux de performance là mais j’espère qu’on aura l’humilité collective de ne pas tomber dans ce piège. Je dois faire en sorte que ce résultat soit la conséquence d’un travail et pas un accident. »

Paris – JL Bourg, coup d’envoi d’une série historique pour le basket français ce mardi (photo : Christelle Gouttefarde)

Surtout dans un club où les résultats sportifs n’ont pas été la base du projet. « Au début, le plan sportif reposait d’abord sur de la structuration et pas sur le fait de se de dire qu’on devait être en Pro A dans 3 ans, en Europe dans 10 ans », étaye le patron burgien. Ainsi, le retour en Pro B en 2015 n’a pas été vécu comme un drame absolu, même s’il a évidemment constitué un frein. Désormais à deux matchs de l’EuroLeague, la JL Bourg a la lucidité de se dire que prétendre à ce niveau serait peut-être « kamikaze ». D’où le fait qu’un Top 4 de Betclic ÉLITE et une finale d’EuroCup représentent certainement le maximum des ambitions légitimes du club. « Se stabiliser, ça voudrait déjà dire qu’on progresse », exposait Frédéric Fauthoux, au moment de sa prolongation. « Le plus facile dans le haut niveau, c’est presque d’arriver en haut. S’y maintenir, c’est le plus compliqué. Après, gagner quelque chose, ce serait grandiose. »

Quand il a remué ciel et terre pour ériger un club dans la capitale à partir de rien, David Kahn (accompagné d’Eric Schwartz) ne l’a pas fait en pensant à l’EuroCup. Les propriétaires américains rêvaient d’un grand club de basket à Paris, donc forcément de l’EuroLeague. « Il a eu un certain nombre d’idées, de direction prises, d’impulsions très ambitieux, parfois trop, mais qui ont toujours apporté quelque chose et ont souvent été transformé », applaudit Mathias Priez. De là à connaître une telle ascension ? « Qui sait, peut-être que c’était dans un coin de sa tête ?! Il est vrai qu’on a eu une croissance très accélérée mais les choses vont au bon rythme. Dans tous les domaines du club, les étapes ont été anticipées, appréhendées et construites par un travail de préparation. Elles sont toutes cochées aujourd’hui pour nous permettre d’appréhender au mieux cette finale. » Pour, potentiellement, se retrouver parmi le gratin européen dès l’année prochaine… Sauf que cela reste le seul tabou du club avant la série contre Bourg. « On ne pense qu’à gagner la Coupe d’Europe, pas à la suite. Je ne me projette pas. On verra bien où ça nous propulse. » Paris a gagné une Leaders Cup, Bourg est double champion de France Pro B : en attendant l’EuroLeague, ou non, un premier trophée majeur est au bout du chemin…

Commentaires


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lounkao
Le président Desbottes doit être félicité pour le sérieux de son analyse et on ne peut que lui souhaiter de Gagner, non pour accéder à l'Euroligue, mais pour montrer que l'argent n'est pas l'élément majeur d'une réussite !
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ricolesbonstuyaux
Effectivement, il ne suffît pas d’avoir de l’argent pour réussir, il faut aussi savoir le dépenser. Ce que semblent savoir faire Kahn et Schmidt depuis 2018…
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maxlineman
Plus gros déficit du championnat sur le précédent exercice tout de même...
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lou_grand- Modifié
Je reste tout de même dubitatif avec le modèle du PB (comme avec celui des London Lions) : mettre des ronds sans rien construire (achat de licence, de WC, d'une équipe entière, pas d'équipe espoirs), avoir une belle salle sans en être proprio et proposer des tarifs élevés, le "tout comme en NBA" en ciblant une petite partie du public amoureux du sport-spectacle (rap, stars, blin bling et nike air), ca ne semble pas prendre en Europe, sinon les grands comme le Real, le Barca, les clubs grecs et turcs le feraient depuis longtemps. TP a essayé aussi à l'asvel, ca prend vraiment pas puisqu'il cherche déjà à revendre son Arena. Questions de culture et de mentalité, je pense.
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samuel92
Parker n'essaie pas de vendre son Arena, il n'en est pas le propriétaire, c'est OL Group. Au contraire, un moment il souhaitait l'acheter. Sinon à Paris, justement ça construit pas mal. Les proprio structurent le club de plus en plus et ça commence à payer. Et on est de nombreux amoureux du basket dans la salle et on voit du beau spectacle régulièrement ;-)
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ricolesbonstuyaux
Pas d’équipe espoirs à Paris ??? On ne doit pas suivre le même championnat. Des tarifs élevés ? C’était pour le match d’inauguration de l’Adidas Arena. Ne pas être propriétaire de la salle ? Quel club de BE possède aujourd’hui sa salle ? Quant au positionnement sport-spectacle-rap-bling bling, ça semble prendre parce que le public parisien s’y identifie (pas moi) et le basket, comme le rap, c’est la culture de la rue. Tu cites des villes et des clubs de ville où le brassage de population n’est pas comparable. Quant à l’« achat d’une équipe entière », il n’y a aucune règle pour l’interdire. Je veux bien admettre que le plus dur, c’est de pérenniser ce modèle sur la durée.
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gai27
Merci pour cet article très intéressant sur les origines et les projets assez opposés au final entre ces 2 nouvelles locomotives du basket français. Les moyens divergent, mais le résultat est déjà au rendez-vous. À voir si ça tiendra dans la durée car oui le plus dur commence en réalité et l'objectif reste de concurrencer l'Asvel et Monaco pour l'intérêt de la Betclic déjà, et surtout exister sur la scène européenne. Que cette finale soit déjà belle à jouer ! Et à regarder.
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lou_grand
Un moment historique pour le basket français qui oublie de décaler le match de championnat entre Monaco et le CSP ! Quels amateurs à la LNB !!!
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arnaudben
Super article, merci !
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cambouis
Très bien. A suivre ce soir
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