Les deux scénarios (dont un improbable) envoyant l’équipe de France à la première place du groupe

Rassurants, Isaïa Cordinier et les Bleus peuvent encore rêver de la première place du groupe
En ne faisant pas faute sur la dernière possession polonaise, l’équipe de France a choisi… de ne pas choisir. Alors qu’ils auraient dû s’imposer de 8 points pour terminer deuxièmes en cas d’égalité à trois, les Bleus se sont finalement imposés de 7 (83-76).
Un résultat qui pourrait « condamner » les tricolores à la troisième place. Si Israël terrasse la Slovénie, pendant que Français et Polonais font respecter la logique contre deux équipes déjà éliminées, alors les Bleus se contenteront du troisième strapontin, en raison d’un goal-average défavorable.
Le scénario de l’égalité à trois
- Israël : +11
- Pologne : -5
- France : -6
Mais il existe encore deux scénarios envoyant les hommes de Frédéric Fauthoux vers la première place. Un seul d’entre eux parait réellement plausible : il faudrait alors battre l’Islande et espérer, dans la foulée, une victoire de la Slovénie sur Israël.
La première place possible,
même en cas de défaite !
L’autre option est de… perdre contre l’Islande, tout en comptant de nouveau sur une victoire slovène, mais aussi un exploit belge face à la Pologne. L’équipe de France serait alors première avec trois victoires en cinq matchs, à la faveur d’une égalité à quatre, mais irait certainement à Riga avec bien moins de certitudes…
L’équipe de France première de son groupe, si…
- Elle bat l’Islande, pendant que la Slovénie bat Israël
- Elle perd contre l’Islande, pendant que la Slovénie bat Israël et que la Belgique bat la Pologne
A contrario, l’équipe de France peut aussi toujours terminer quatrième. Il faudrait alors combiner une improbable défaite contre l’Islande, avec une victoire slovène de plus de 4 points, et un succès polonais face à la Belgique.
En 1/8e de finale, les Bleus peuvent croiser avec cinq adversaires potentiels : l’Espagne, l’Italie, la Bosnie-Herzégovine, la Géorgie et la Grèce. « On verra bien ce qu’il nous est proposé pour l’avenir », répond Frédéric Fauthoux. « Est-ce qu’on a l’ambition de vraiment choisir notre adversaire ? Je ne crois pas. Aujourd’hui, on a fait ce qu’on avait à faire. Je crois que c’est le plus important. »
À Katowice,


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