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Vincent Collet, un an après Paris 2024 : « Les mois qui ont suivi ont été difficiles »

Vincent Collet, l’ancien sélectionneur de l’équipe de France masculine de basket, est revenu dans Le Courrier de l’Ouest sur son expérience unique aux Jeux olympiques de Paris 2024. Un an après la médaille d’argent décrochée face aux États-Unis, le technicien partage les souvenirs intenses… et le blues de l’après.
Vincent Collet, un an après Paris 2024 : « Les mois qui ont suivi ont été difficiles »

Vincent Collet a vécu une période compliquée après les Jeux olympiques de Paris

Crédit photo : Guillaume Poumarede

Vincent Collet a quitté ses fonctions de sélectionneur de l’équipe de France masculine de basket après avoir emmené les Bleus jusqu’en finale des Jeux olympiques de Paris 2024. Près d’un an après cette campagne historique conclue par une médaille d’argent, l’entraîneur normand a accordé une interview au Courrier de l’Ouest dans laquelle il confie à la fois la fierté de cette épopée et la difficulté de tourner la page.

« Une aventure de vie »

En évoquant Paris 2024, Vincent Collet ne parle pas seulement d’une compétition réussie, mais d’une expérience humaine et professionnelle hors normes. « Ce n’est même pas l’aventure d’une carrière, c’est l’aventure d’une vie », résume-t-il. L’ambiance, la ferveur populaire, le fait de jouer à domicile : autant d’éléments qui ont conféré une dimension exceptionnelle à cette campagne olympique.

Si les Bleus avaient mal démarré leur tournoi, c’est en quart de finale contre le Canada que tout a basculé. « Le match qui sort du lot, c’est celui contre le Canada, où ça change le cours des choses », explique Collet, qui cite également la demi-finale contre l’Allemagne comme l’un de ses souvenirs les plus marquants. Ce soir-là, la France a validé sa place en finale en battant les Allemands (73-69), avant de retrouver les États-Unis pour un remake de Tokyo 2021.

Le blues de l’après

Mais après les cris de joie, place au silence. Et pour Vincent Collet, la suite n’a pas été simple à gérer. Contrairement aux joueurs qui ont rapidement retrouvé leurs clubs et un rythme compétitif, l’ancien sélectionneur s’est retrouvé sans activité.

« Cette période de blues a réellement existé. Les mois qui ont suivi ont été difficiles. C’était un peu comme une séparation », confie-t-il. Une rupture d’autant plus forte que ces Jeux marquaient la dernière grande aventure de sa carrière de coach : « Il ne me reste pas beaucoup d’années de carrière. »

Des images qui restent en tête

Consultant cette saison auprès des Cleveland Cavaliers, Vincent Collet a néanmoins pris le temps de revoir de nombreux matchs de la compétition, certains plusieurs fois, notamment pour en tirer des enseignements tactiques. Il n’a toutefois pas encore visionné Court of Gold, le documentaire produit par Netflix sur les Jeux de Paris.

Quant aux souvenirs matériels, Collet s’en tient à l’essentiel : « Ce n’est pas vraiment un objet, mais je mets régulièrement le short d’entraînement qu’on avait aux Jeux. Les Jeux, c’est dans la tête qu’ils sont présents. »

Image Gabriel Pantel-Jouve
Gabriel Pantel-Jouve est le fondateur et rédacteur en chef de BeBasket, qu’il anime depuis 2010 (sous le nom de Catch & Shoot). Passé par l’Ecole Publique de Journaliste de Tours, puis deux universités en Amérique du Nord, il a pu développer son expertise sur le basket français, de la Ligue Nationale aux divisions amateurs, durant ces 20 dernières années. En parallèle, il est aussi engagé dans le développement de clubs du côté de Montpellier.
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glidos
bouhhhh !!! ouin ouin !!! on va pleurer ! 15 ans de collet = 15 ans de trop, pour celui, qui, représentant la plus puissante fédé basket d'Europe, forte de 730.000 licences n'a réussi à la faire vaincre qu'une seule fois, sur un malentendu même, grâce à coup de gueule de tony parker dans des vestiaires espagnols... S'il était bon, collet coacherai en Euroleague, mais bizzarement, personne n'en veut !!! On peut en déduire que tous les présidents d'Euroleague sont des baskétixs, ou bien que le loser collet a bénéficié de la protection de l'assassin siutat et de ses sbires durant 15 ans ! collet assistant, pourquoi pas, mais avec son charisme d'huitre, coach ? jamais !!! bon débarras et plus jamais ça !
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