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Coupe du monde : les cinq enseignements du tirage au sort

Coupe du monde : les cinq enseignements du tirage au sort

Les 42 sélections déjà qualifiées pour la Coupe du monde 2026 connaissent désormais leurs adversaires pour la phase initiale du tournoi, qui se déroulera l’an prochain aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Le tirage au sort de la compétition reine du football mondial s’est tenu dans un décor solennel, au John F. Kennedy Center for the Performing Arts à Washington, par une froide journée hivernale — et il n’a pas manqué de faire parler de lui.

Des affiches déjà très attendues

Le tirage a accouché de plusieurs chocs prometteurs dès la phase de groupes : Espagne–Uruguay, Angleterre–Croatie ou encore France–Sénégal. Cette dernière affiche résonne tout particulièrement dans l’histoire du Mondial, les Sénégalais ayant créé la surprise en battant les Bleus lors de la Coupe du monde 2002.

Les pays hôtes sont également fixés. Les États-Unis ouvriront leur tournoi à Los Angeles face au Paraguay, avant de défier l’Australie et un adversaire européen encore à déterminer. 

Un Mondial inédit par son ampleur

Ce tirage avait pour objectif de constituer les 12 groupes de quatre équipes qui composent la phase de groupes du tournoi. Pour la première fois dans l’histoire, la Coupe du monde réunira 48 nations, contre 32 lors de l’édition 2022 au Qatar. Cette nouvelle dimension suscite déjà un engouement particulier, aussi bien chez les supporters que dans l’univers des analyses sportives et économiques, où l’on observe une hausse marquée de l’intérêt pour la comparaison des bonus de paris sportifs en France, reflet de l’attrait croissant pour une compétition aux affiches inédites.

Petits poucets et géants du football

Cette nouvelle formule accentue les contrastes. Certaines grandes puissances affronteront des nations novices ou peu habituées à la scène mondiale, comme l’Espagne face au Cap-Vert, débutant dans la compétition, ou l’Allemagne contre Curaçao, le plus petit pays jamais qualifié pour un Mondial, avec un peu plus de 150 000 habitants.

D’autres affiches attirent déjà l’attention, comme le Portugal de Cristiano Ronaldo, qui croisera la route de la Colombie, finaliste de la dernière Copa América. Dans chaque groupe, les deux premiers se qualifieront directement, tandis que les huit meilleurs troisièmes accéderont également à la phase à élimination directe.

Le(s) groupe(s) de la mort

Comme toujours, la question du « groupe de la mort » s’impose. Plusieurs poules semblent particulièrement relevées. Celle regroupant l’Angleterre, la Croatie, le Ghana et le Panama s’annonce très disputée. Idem pour le groupe réunissant la France, le Sénégal, la Norvège et le vainqueur d’un barrage entre la Bolivie, l’Irak et le Suriname.

Un autre groupe attire l’attention : Pays-Bas, Japon, Tunisie et un qualifié issu d’un barrage impliquant l’Ukraine, la Pologne, l’Albanie ou la Suède. À l’inverse, certaines nations favorites, comme l’Argentine (opposée à l’Algérie, l’Autriche et la Jordanie), semblent bénéficier d’un tirage plus clément.

Un tirage sous haute tension politique

Au-delà du football, la cérémonie a également suscité la polémique. Alors que le tirage a réuni de nombreuses célébrités — du ténor Andrea Bocelli à l’ancien quarterback Tom Brady — le président américain Donald Trump s’est vu remettre le tout premier « Prix de la paix » de la FIFA, décerné « au nom des amoureux du football du monde entier ».

Cette distinction, attribuée par le président de la FIFA Gianni Infantino, a été justifiée par des « actions exceptionnelles en faveur de la paix et de l’unité ». Elle a toutefois provoqué de vives critiques parmi certains supporters et observateurs, qui y voient une nouvelle illustration du rapprochement controversé entre la FIFA et la Maison-Blanche, au mépris de la tradition de neutralité politique revendiquée par l’instance.

Pierre-Louis Lunark suit le basket avec enthousiasme et un goût prononcé pour le jeu sous toutes ses formes. Sur BeBasket, il conçoit également des quiz et des contenus interactifs pour tester les connaissances des fans, toujours avec une touche ludique et maligne.

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