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« Notre patience a des limites » : les dirigeants de l’Olympiakos furieux après la défaite au Match 1 des finales

À l'étranger - Le point culminant de la saison en Grèce oppose les rivaux Panathinaïkos et Olympiakos en finale du championnat. Les premiers ont remporté le Match 1 à domicile hier soir (80-68), et la prestation des seconds a déçu leurs dirigeants, qui attendent une réaction pour la suite.
« Notre patience a des limites » : les dirigeants de l’Olympiakos furieux après la défaite au Match 1 des finales

À 4/12 aux tirs, Evan Fournier n’a pas fait son meilleur match hier

Crédit photo : EuroLeague

Ce vendredi 30 mai au soir se disputait à Athènes la huitième confrontation de la saison entre les ennemis jurés le Panathinaïkos et l’Olympiakos. Cette fois sur la scène nationale, puisque c’était le Match 1 des finales du championnat grec. Champions en titre, les joueurs du Panathinaïkos ont facilement remporté cette rencontre 80-68, en tenant à l’écart leurs rivaux pendant la majeure partie du match, sans que ceux-ci se montrent particulièrement menaçants. Et ce malgré l’absence de Mathias Lessort (2,06 m, 29 ans), jugé insuffisamment rétabli de sa lourde fracture à la jambe gauche.

Défaite interdite

Ce sont les autres étrangers de l’équipe qui ont mené la victoire, puisque les deux Turcs et deux Américains finissent meilleurs marqueurs côté vert (17 points pour Jerian Grant et 14 pour Kendrick Nunn notamment). Côté Olympiakos, la marque est moins bien répartie. Quatre joueurs ont marqué 85% des points de l’équipe, avec l’inévitable Sasha Vezenkov à 20 points et 10 rebonds, et le duo tricolore Fall-Fournier à 15 et 12 points. Au global, c’est la prestation collective des hommes de Georgios Bartzokas qui n’a pas convaincue. Avec en premier lieu les présidents du club Panagiotis et Giorgos Angelopoulos, auteurs d’un message piquant publié sur les réseaux sociaux du club :

« Ce qu’on a vu ce soir à l’OAKA (salle du Panathinaïkos), ce n’est pas l’équipe qu’on a vu toute la saison. Ça serait bien que tout le monde fasse son match comme il se doit dimanche, car notre patience a des limites. Les fans seront là encore une fois pour nous supporter, on veut que l’équipe leur fasse honneur. »

« Les Grecs sont des personnes très passionnées. Ils adorent leur équipe et mettent beaucoup d’énergie et d’argent pour les supporter » a essayé de tempérer Evan Fournier (1,98 m, 32 ans) auprès des médias locaux.

Ce titre du championnat grec, que les deux rivaux se partagent non-stop depuis 2003 (17 titres à 5 pour le Panathinaïkos), est primordial. Même davantage que l’EuroLeague, comme l’a dit le propriétaire du Pana avant la finale pour motiver ses troupes. En face, le moral est en berne. Leaders pendant toute la saison régulière, les joueurs de l’Olympiakos n’ont déjà pas réussi à aller chercher le titre en EuroLeague, se contentant d’une troisième place au Final Four, obtenue face au… Panathinaïkos. Si bien que l’effectif rouge et blanc pourrait connaître un gros turnover cet été si le club ressortait de la saison sans titre majeur.

La finale du championnat grec se joue au meilleur des 5 manches. Match 2 ce dimanche 1er juin à 20h00, cette fois au Stade de la Paix et de l’Amitié de l’Olympiakos.

Commentaires


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matt_le_bucheron
J'ai vu la fin de la seconde période, le rythme n'était pas terrible coté Olympiakos. Il y a eu 2 passages de Vildoza qui ont été terribles, avec air ball, pertes de balles. De plus, il n'y avait pas beaucoup de rotations.
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halle_37
Au vu du pognon investis, tu m'étonnes qu'il soit furax, vivement un grand balais cette été, a commencer par le coach
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