Recherche
Logo Bebasket
Recherche
Logo Bebasket
  • À la une
  • Mon actu
  • Matchs
  • Frenchies
  • Mes joueurs
  • Équipe de France
  • Interviews
  • Quiz
  • CONTACTEZ-NOUS

Paris assomme Monaco et n’est plus qu’à une victoire d’un premier titre de champion de France !

Betclic ELITE - Déjà dominateur pour ouvrir les finales des playoffs, le Paris Basketball a une nouvelle fois dicté sa loi face à l'AS Monaco lors du match 2 (92-67). Il ne manque plus qu'une victoire au club de la capitale pour décrocher son premier titre de champion de France.
Paris assomme Monaco et n’est plus qu’à une victoire d’un premier titre de champion de France !

Yakuba Ouattara a mal très mal à son ancienne équipe.

Crédit photo : Lilian Bordron

Après les deux premières rencontres de ces finales des playoffs de Betclic ELITE, il n’y a pas match entre le Paris Basketball et l’AS Monaco. Impressionnant en ouverture dimanche, le club de la capitale a délivré une nouvelle démonstration ce mardi 17 juin (92-67), afin de mener 2 à 0 dans cette série. Monaco est plus que jamais dos au mur au moment de rentrer en Principauté…

Paris a encore frappé le premier

« On a regardé les matchs de l’année dernière avec les gars. On n’oublie pas. » En plus d’avoir bonne mémoire, Nadir Hifi et les Parisiens ont visiblement bien préparé leur vengeance. Giflés à deux reprises l’an dernier à l’Adidas Arena pour ses premières finales, Paris a signé ses deux plus larges victoires contre l’AS Monaco à l’occasion de leurs retrouvailles au même stade de la compétition.

« On voulait être ceux qui mettent le premier coup, pas ceux qui subissent, et on l’a très bien fait », souriait Yakuba Ouattara au micro de DAZN. Très adroit ce mardi, l’ex-capitaine monégasque a participé, avec tous ses camarades parisiens, a laissé l’ASM dans les cordes dans ce début de finales de Betclic ELITE. Après le +12 du match 1, les Parisiens ont cette fois donné un véritable uppercut à Monaco avec un +25 au match 2, éteignant rapidement l’espoir monégasque d’une égalisation, à l’image de la coupure de courant de quelques minutes lors du passage en conférence de Petr Cornelie. Quand rien ne va….

paris monaco
T.J. Shorts a encore été irrésistible pour Paris. (Photo : Lilian Bordron

L’ASM de nouveau frustrée

Pourtant avec la volonté affichée de mieux rentrer dans sa partie, la Roca Team a très vite été dépassée par la fougue de T.J. Shorts et ses partenaires. Prenant déjà un premier avantage dès le premier quart-temps (20-13, 10′), Paris n’a en rien été bousculé par Monaco, mis à part sur des gestes de frustrations monégasques, comme le petit accrochage entre Alpha Diallo et T.J. Shorts ou encore la poussade de Jaron Blossomgame sur Léopold Cavalière. « On se plaint trop, nous sommes tellement frustrés », regrettait Vassilis Spanoulis en conférence de presse.

Incapable de pouvoir imposer son basket, le club de la Principauté n’a fait que subir le rythme infernal de Paris, qui ne comptait pourtant « que » 13 points d’avance à la mi-temps, presque maigre au vue de la domination affichée. Mais  l’équipe de Tiago Splitter a mangé à sa faim en seconde période, faisant complètement disparaître l’AS Monaco. Avec une pleine participation de l’ensemble des convives parisiens au festin (9 joueurs à 4 points ou plus, 11 marqueurs), le Paris Basketball a tué tout suspense dès la fin du 3e quart-temps. Avec une ribambelle de tirs à 3-points, notamment de Yakuba Ouattara (11 points dont 3/5) mais aussi des remplaçants (2/4 pour Hommes, 2/6 pour Herrera et Jantunen), l’Adidas Arena pouvait savourer durant les dix dernières minutes (70-45, 30′) d’avoir « chicoté » l’AS Monaco (92-67).

Ainsi, après cette première partie de finale dans la capitale, le Paris Basketball est plus que jamais en pole position pour décrocher son premier titre de champion de France, avec désormais trois balles de série. « On n’a rien fait pour le moment », tempérait T.J. Shorts, auteur d’une nouvelle prestation remarquée (28 points pour 33 d’évaluation). « On avait l’avantage du terrain et on a gagné nos deux matchs. Gagner là-bas sera la chose la plus dure de la saison. »

Tout comme gagner trois fois de suite contre Paris sera également le plus grand défi de l’AS Monaco, qui n’a pour le moment pas les clés dans cette finale.« Ils ont plus d’énergie et le momentum. On n’arrive pas à stopper leur jeu rapide », pestait Mam’ Jaiteh à DAZN. L’AS Monaco a désormais trois jours devant elle pour tenter d’inverser tout cela, sous peine de sweep et surtout d’une saison sans titre. On rappellera que seule l’ASVEL en 2016 (contre Strasbourg) a remonté un handicap de deux à 0…

À l’Adidas Arena (Paris). 

Commentaires


Veuillez vous connecter afin de pouvoir commenter ou aimer
Connexion
silk
Monaco s'est fait marcher dessus pendant tout le match à l'image du différentiel au rebond (49 à 27). Il y avait clairement une équipe qui en voulait plus sur le terrain que l'autre. Visiblement "l'incident" Mike James a laissé des traces coté monégasque.
Répondre
(2) J'aime
lulutoutvert
Tout à fait. Plus objectif principal qui file entre les doigts. Et ne pas oublier l'impact non négligeable du retard de paiement de certains joueurs. Ça ne doit pas aider pour la cohésion d'équipe. A moins que ce soit un concept novateur...
Répondre
(0) J'aime
serpro9
Collectif monégasque en déliquescence... L'équipe a lâché ? Spanoulis incapable de stopper TJ Short, de proposer du neuf et des adaptations sans parler de sa gestion douteuse de l'effectif. Mike James doit bien rigoler! Paris une vraie équipe soudée où tout le monde apporte. Game 3 très attendu!
Répondre
(0) J'aime
lulutoutvert
Hormis les 8 premières minutes, c'était le même match. Et peut être que le 3e sera identique. Car ça ne sent pas la révolte a venir dans la Principauté. Il n'y en a pas un pour prendre le leader. Ça sent la fin de cycle
Répondre
(0) J'aime
rudd4
Karma pour notre Fedo préféré !
Répondre
(0) J'aime