Théo Maledon excellent lors la large victoire du Real Madrid contre le Fenerbahçe

Théo Maledon a été très efficace face au Fenerbahçe Istanbul
Il fallait une réaction après trois défaites consécutives à l’extérieur, et le Real Madrid l’a eue. Devant son public de la Movistar Arena, l’équipe de Sergio Scariolo a livré un match d’une rare intensité, retrouvant la défense qui avait fait sa force en début de saison.
Un départ parfait et une défense de fer
Dès l’entre-deux, les Madrilènes ont imposé leur loi. Facundo Campazzo, Trey Lyles et Alberto Abalde ont rapidement trouvé la mire longue distance pour donner un premier écart conséquent (17-2). Avec une défense compacte et un contrôle total du rebond, le Real a bouclé le premier quart à +9 (25-16).
Le deuxième acte a été celui du basculement définitif. Le Fenerbahçe, limité à 6 points dans la période, n’a rien pu faire face à l’énergie collective du Real. Garuba a dominé dans la peinture, Tavares a protégé le cercle et l’ensemble madrilène a étouffé les Turcs pour virer à la pause avec 27 points d’avance (49-22).
Théo Maledon, l’étincelle du deuxième quart-temps
Entré en jeu en sortie de banc, Théo Maledon (1,93 m, 24 ans) a signé sa meilleure séquence depuis son arrivée en Espagne : 9 points consécutifs, deux actions de 2+1, de la justesse et une intensité exemplaire.
« Je pense qu’on a très bien commencé, surtout défensivement. C’est là qu’on a mis le ton et ça doit rester notre ADN », a-t-il expliqué sur EuroLeague TV après la rencontre.
Avec 23 d’évaluation, le meneur français a terminé co-meilleur joueur du match, à égalité avec Edy Tavares, symbole d’un Real retrouvé.
👊🏾 @Theo_Maledon 👊🏾 pic.twitter.com/SRRGhVtQmf
— Real Madrid Basket (@RMBaloncesto) October 31, 2025
Un Real Madrid taille patron avant le Clasico
Jamais inquiété, le Real Madrid a su gérer la suite de la rencontre, maintenant la pression jusqu’à la dernière minute. L’écart final (84-58) témoigne de la domination totale des Blancos, qui ont signé l’une de leurs meilleures prestations défensives de ces dernières années en EuroLeague.
« Nous avons été constants pendant 40 minutes. J’ai aimé notre troisième quart-temps, nous n’avons jamais laissé le Fenerbahçe espérer », a résumé Sergio Scariolo.
De bon augure avant le Clasico face au FC Barcelone la semaine prochaine, alors que Théo Maledon s’impose peu à peu comme une pièce maîtresse du dispositif madrilène.


 
  
  
  
 



















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