Un ancien joueur NBA concerné par une attaque de requin !

Eleonora Boi a été attaquée par un requin
Eleonora Boi, l’épouse enceinte de l’ancien joueur NBA Danilo Gallinari, a vécu un véritable cauchemar jeudi dernier sur une plage de Porto Rico. La journaliste sportive de 39 ans a été attaquée par un requin alors qu’elle se baignait au Carolina Resort, provoquant une blessure ouverte à la cuisse de 15 centimètres.
L’attaque s’est produite dans des circonstances particulièrement angoissantes pour la famille. « J’étais quasiment au bord de l’eau avec mon mari et les enfants — on ne peut pas aller loin quand on est enceinte ! Soudain, j’ai senti une brûlure intense à la cuisse. Comme je suis Sarde et habituée à la mer, j’ai d’abord pensé à une méduse », raconte-t-elle à La Gazzetta dello Sport.
Un traumatisme pour toute la famille Gallinari
La situation a rapidement basculé dans l’horreur. « J’ai touché ma cuisse et senti quelque chose de mou, j’ai commencé à hurler. En courant hors de l’eau, j’ai vu ma peau mâchée et qui se décollait… une vision horrible », poursuit Eleonora Boi. Le capitaine Ruben Moyeno de la police municipale de Carolina a confirmé l’incident, précisant que la victime était dans un état stable.
Transportée au centre médical de Río Piedras, la compagne de Gallinari reste hospitalisée pour surveillance. « Ils m’ont fasciée avec un bendage particulier pour que le sang puisse s’évacuer car ils ne m’ont pas encore complètement refermé la plaie pour mieux la nettoyer et éviter tout risque d’infection », explique-t-elle. Les médecins ont confié n’avoir jamais vu un cas similaire dans la région en 30 ans.
L’ancien ailier des Nuggets et des Knicks, actuellement sous contrat avec les Vaqueros de Bayamón en BSN, a choisi de rester auprès de son épouse malgré les finales du championnat. « Danilo a été fort et présent. Mais le traumatisme a été énorme pour lui aussi. Je le pousse à retourner sur le terrain pour se concentrer sur la finale, mais il a décidé de rester avec moi jusqu’à lundi », confie Eleonora Boi.
La biologiste Nilda Jiménez du Département des ressources naturelles et environnementales a confirmé après analyse des photographies que les caractéristiques de la morsure étaient compatibles avec celles d’un requin. Des échantillons supplémentaires sont attendus pour validation définitive de cette hypothèse rarissime dans la région.

Commentaires