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Pas de calcul pour les Bleus : « On est prêts de toute manière »

Équipe de France - L'équipe de France ne sait pas à quelle place elle va terminer dans le groupe D, l'empêchant ainsi de connaître son futur tableau pour les phases finales. Jouant en premiers ce jeudi, les Bleus n'étaient pas en mesure de calculer contre l'Islande. De toute façon, les tricolores ont rappelé qu'ils devront battre tout le monde pour aller chercher le titre, l'objectif assumé pour la plupart d'entre eux.
Pas de calcul pour les Bleus : « On est prêts de toute manière »

Lors de France – Islande, les Bleus n’ont pas tergiversé et sont allés sécuriser une large victoire

Crédit photo : Julie Dumélié

Alors qu’en début d’EuroBasket il était évident pour tous les observateurs de l’équipe de France que terminer premier de la poule D s’annonçait primordial pour éviter un éventuel quart de finale face à la grande favorite de la compétition, la Serbie, la donne a changé. D’abord parce que les Bleus ont perdu dimanche contre Israël. Mais surtout parce que la Serbie a terminé deuxième du groupe A derrière la Turquie, après avoir perdu ce mercredi.

Ce jeudi à Katowice, après leur quatrième et dernière victoire en phase de poule – contre l’Islande, 114 à 74 -, les Bleus étaient tous d’accord : il n’y avait pas de calcul à faire avant cette ultime rencontre, car personne n’était en mesure de prédire les prochains résultats. « Les trucs où tu calcules et tu essaies de faire ci, faire ça, ça se passe toujours mal », rappelle le capitaine Guerschon Yabuse. Même son de cloche pour son sélectionneur, Frédéric Fauthoux, qui s’attend d’abord à un prochain match compliqué : « Le huitième était déjà incertain, alors regarder encore plus loin… »

« Vu qu’on est là pour l’or… »

Bien évidemment, les tricolores gardent un œil sur les autres rencontres, de Tampere, à Katowice en passant par Riga et Nicosie. « On suit les autres matches comme tout le monde, on sait plus ou moins ce qu’il se passe », avoue Mouhammadou Jaiteh. Et que la probabilité n°1 est de finir premier ou troisième et ainsi de se retrouver dans le tableau de l’Allemagne et de la Serbie. « Quoi qu’il arrive, si on veut aller au bout il faut jouer les gros », rappelle le pivot de Dubaï. « Le plus tard sera le mieux mais peu importe qui on va jouer, il n’y a plus de calcul (à faire) », ajoute-t-il. « On est prêts de toute manière », résume Timothé Luwawu-Cabarrot, suivi de près par Nadir Hifi : « Vu qu’on est là pour gagner l’Euro, il faut gagner tout le monde, même les grosses équipes. »

Mais on peut compter sur les Bleus pour suivre Israël – Slovénie (17h) de près, ainsi que Pologne – Belgique (20h30) et Espagne – Grèce (20h30), et échanger sur le parcours éventuel. « On en parle, bien sûr », ne cache pas Isaïa Cordinier, même si le capitaine rappelle tout le monde à l’ordre. « Peu importe qui on affrontera, on jouera l’équipe qu’on aura en face de nous. A ce niveau-là de la compétition, toutes les équipes sont fortes. Quand tu veux être champion, tu dois battre tout le monde. Donc, il faut passer par là. Et peu importe l’équipe qu’on aura en face de nous, on sera prêt pour la jouer. »

A Katowice,

Image Gabriel Pantel-Jouve
Gabriel Pantel-Jouve est le fondateur et rédacteur en chef de BeBasket, qu’il anime depuis 2010 (sous le nom de Catch & Shoot). Passé par l’Ecole Publique de Journaliste de Tours, puis deux universités en Amérique du Nord, il a pu développer son expertise sur le basket français, de la Ligue Nationale aux divisions amateurs, durant ces 20 dernières années. En parallèle, il est aussi engagé dans le développement de clubs du côté de Montpellier.
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