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ITW Matthew Strazel : « On joue mieux quand on est dans l’urgence »

Betclic ELITE - Matthew Strazel s'est présenté en conférence de presse lundi 16 juin après-midi à Paris. Le combo-guard français, encore davantage responsabilisé en l'absence de Mike James, espère évidemment un rebond de l'AS Monaco après la défaite inaugurale (94-82). Comme l'ASM a su le faire face au Mans et l'ASVEL précédemment dans ces phases finales...
ITW Matthew Strazel : « On joue mieux quand on est dans l’urgence »

Comme contre l’ASVEL en demi, Matthew Strazel et Monaco sont menés pour débuter les finales.

Crédit photo : Lilian Bordron

Quels constats avez-vous tiré après avoir perdu le match 1 des Finales de Betclic ELITE ? 

Il y a eu beaucoup de réflexions et de remises en question, pour essayer de comprendre comment on a perdu ce match. Il y a eu des discussions avec les coachs et les joueurs pour essayer de corriger le tir. Il y a des choses tactiques que l’on va garder pour nous. Mais ce qui est ressorti, c’est qu’on avait l’impression qu’ils allaient deux fois plus vite, deux fois plus haut. On ne peut pas se permettre d’être dépassés comme cela pendant 40 minutes. C’est la chose la plus importante. On ne veut pas que les gens aient l’impression qu’ils en veulent plus que nous.

Comment abordez-vous ce second match à Paris ? 

On est une équipe qui joue un peu mieux quand on est dans l’urgence. On est mené 1-0 et on ne veut pas rentrer en étant mené 2 à 0. On va arriver prêts mentalement pour ce match 2 et jouer un meilleur basket avec plus d’envie et d’intensité.

Bien embêtés par Paris au match 1, Matthew Strazel garde confiance dans la capacité de réaction de son équipe. (Photo : Lilian Bordron)

D’autant que vous n’étiez peut-être pas si loin de Paris malgré un match moyen de votre part…

Même en jouant un basket de basse qualité, si on avait fait quelques stops, on aurait pu revenir et cela aurait été un tout autre match.

« Une série, c’est mental »

Vous étiez déjà menés 1-0 en demi-finale contre l’ASVEL, après une première grosse défaite. Cela aide-t-il d’avoir déjà connu le même contexte ?

Cela va nous aider, consciemment ou inconsciemment. On l’a déjà vécu. En playoffs, on a l’impression que les défaites, c’est la fin du monde, et que les victoires, c’est un soulagement. C’est important de ne pas être trop bas. La série contre l’ASVEL nous aide pour se remettre en question rapidement.

Cela peut être un piège de savoir que vous êtes capables de jouer bien mieux que cela ? 

L’important, c’est de garder confiance. C’est mental une série. On ne va pas arriver avec une espèce de suffisance. Mais chaque joueur doit garder confiance, pour mettre des tirs et faire des actions décisives.

Propos recueillis à l’Adidas Arena (Paris).

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