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L’EuroLeague met la pression à l’ASVEL : « Ils ont clairement besoin de trouver les moyens d’être compétitifs »

EuroLeague - Le directeur général de l’EuroLeague, Paulius Motiejunas, a mis un coup de pression à l’ASVEL dans les colonnes de L’Équipe. Alors que le budget du club a reculé deux années de suite, l’instance attend une réaction pour que l'ASVEL reste au niveau requis par sa licence permanente.
L’EuroLeague met la pression à l’ASVEL : « Ils ont clairement besoin de trouver les moyens d’être compétitifs »

L’ASVEL doit trouver le moyen de gagner en compétitivité pour convaincre l’EuroLeague

Crédit photo : Infinity Nine Media / Ilan Allouche

L’ASVEL est le seul club français à disposer d’une licence A en EuroLeague, un statut envié qui garantit une participation pérenne à la compétition reine. Mais cette sécurité n’empêche pas les attentes. Dans un entretien accordé à L’Équipe, Paulius Motiejunas, directeur général de l’EuroLeague, a tenu à rappeler que le club villeurbannais devait vite relever la tête.

« Ils ont clairement besoin de trouver les moyens d’être compétitifs »

Après deux baisses consécutives de budget et une période compliquée sportivement, Motiejunas n’a pas mâché ses mots : « Nous souhaitons qu’ils élèvent leur niveau. Il y a des raisons à leur mauvaise passe, qui expliquent leurs soucis du moment, le conflit avec leur ancien sponsor (Skweek), et d’autres choses. Mais ils ont clairement besoin de trouver les moyens d’être compétitifs. »

Un message clair, qui souligne que la licence permanente ne garantit pas une place sans exigences de résultats ni de moyens.

Un record égalé en 2024-2025 mais un effectif encore renouvelé

L’ASVEL sort d’une saison en EuroLeague avec 13 victoires, égalant son record dans la compétition. Mais cette saison, avec un budget encore en baisse, l’effectif rhodanien, qui démarre sa saison européen ce mercredi 1er octobre, a été contraint de subir un énième lifting. De quoi frustrer Nando De Colo par exemple, qui ne l’a pas caché publiquement.

Si l’infrastructure (la LDLC Arena) répond aux standards exigés, c’est bien sur le terrain que la différence doit désormais se voir.

Un rappel à l’ordre qui tombe au mauvais moment

Alors que le Paris Basketball avance vers une licence permanente et que l’AS Monaco, finaliste 2025, la vise également, l’ASVEL se retrouve dans une position délicate. Le message de l’EuroLeague est une piqûre de rappel : la France peut compter trois clubs ambitieux, mais tous doivent répondre présents sportivement et financièrement pour exister dans l’élite européenne. A moins que la potentielle intégrer de l’ASVEL dans la ligue européenne de la NBA ne vienne complètement changer les plans…

Image Gabriel Pantel-Jouve
Gabriel Pantel-Jouve est le fondateur et rédacteur en chef de BeBasket, qu’il anime depuis 2010 (sous le nom de Catch & Shoot). Passé par l’Ecole Publique de Journaliste de Tours, puis deux universités en Amérique du Nord, il a pu développer son expertise sur le basket français, de la Ligue Nationale aux divisions amateurs, durant ces 20 dernières années. En parallèle, il est aussi engagé dans le développement de clubs du côté de Montpellier.
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Commentaires


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thegachette
Il pourrait aussi demander à tous les clubs de ne pas fonctionner à perte... L'Asvel comme Paris et d'autres essaient de maintenir un équilibre financier, pendant que d'autres perdent des millions. Tant mieux pour les joueurs qui se mettent bien, mais c'est pas comme ça qu'on crée une ligue qui fonctionne vraiment.
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jeildo
Euh l’ASVEL et Paris perdent des millions aussi. Le Réal a des revenus propres de 25M€ je ne sais pas si des clubs font mieux en Europe en tout cas les clubs français en sont très loin.
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jc87
50 millions de budget pour 25 millions d'euros de revenu ça fait 25 millions de perte et ça c'est chaque année...
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alvin
En France, les clubs ne peuvent pas perdre des millions sans que la ligue intervienne. Tout est très encadré. Pour les autres clubs d'euroleague et prenons l'exemple du Réal, les pertes sont colossales. C'est l'entité du club de foot qui comble le vide chaque année. Sans compter qu'une grande partie des clubs étrangers en euroleague fonctionnent avec le mécénat. Valence par exemple à des pertes colossales chaque année, toutes epongées par les dons d'un seul homme. En France ça n'existe pas et si ça existait ça créerait un déséquilibre qui obligerait la ligue à intervenir.
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jeildo
Ah ouais en France ça existe pas ? Tu as les résultats financiers sur LNB.fR vous verrez que l’ASVEL et Paris accusent de grosses pertes qui sont compensées par miracle par des produits exceptionnels. Et ce miracle c’est TP, David Kahn et leurs associés. Je vois pas la différence avec le Réal et Valence.
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joraberanto
L'ASVEL s'en sort pas trop mal la saison dernière avec moins de budget et en finissant 15ème. Motiejunas demande des miracles pour que ça fasse aussi bien voire mieux cette saison.
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dem7- Modifié
C'est justement ça qu'il critique Que le club doive faire des miracles ça veut bien dire qu'ils ne sont pas au niveau de l'euroleague Le niveau actuel de l'ASVEL est plus situé en eurocup donc un p'tit coup de pression de la part des dirigeants de l'euroleague me paraît justifié
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cyrmans
Je pense que le coup de pression est surtout dû aux rumeurs sur la NBA Europe. Est-ce qu'il a fait de même pour les clubs qui ont terminé derrière l'ASVEL la saison dernière ?
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macroy
Franchement Poupet a fait du super boulot l'année dernière en Euroleague avec ses 13 victoires. L'Asvel n'a pas été ridicule, loin de la. Non, ce que veut le dirlo, c'est que le budget soit beaucoup plus important. Le pognon, c'est tout !
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alvin
Tout ce qu'il dit c'est qu'en tant que membre permanent, on ne peut pas faire deux saisons d'affiler dans les bas fond du classement. C'est compréhensible. Ok l'euroleague est une mafia mais il n'y a là aucune notion de pognon.
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jeildo
Je ne comprends pas le timing de son intervention avec sa ligue bancale ou le plus riche finit champion. Il vient de mettre un salary cap qui peut bénéficier aux plus petits budgets. De toute façon TP veut se barrer de l’ASVEL car il perd trop d’argent d’où son lobbying pour la NBA Europe qui apporterait à la structure le cash attendu.
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glidos
https://www.youtube.com/watch?v=lzQ9lszhP10
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bill_laimbeer- Modifié
Le conflit avec leur ancien sponsor...lol Il aurait pu dire les bobards et versements pas realIses par skweek mais ca aurait ete plus dur de dIre du bien de Monaco apres coup. Apres fallait etre naif a l asvel pour croIre sur parole un marchand d engrais russo-hongrois-uruguayen, apres avoir cru sur parole un marchand de tang et banga.
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