On a comparé nos pronostics à ceux de ChatGPT pour la saison 2025/26 de Betclic ÉLITE : qui verra le plus juste ?

L’AS Monaco de Mike James grandissime favorite de la saison, mais quelques outsiders comme le MSB pour continuer de l’embêter ?
Plus que quelques heures avant le grand retour de la Betclic ÉLITE, qui reprend ses droits ce vendredi soir avec un joli choc entre Dijon et Le Mans à 20h30 !
Pour l’occasion, on a décidé de se mouiller en vous livrant nos pronostics. Les trois journalistes de BeBasket se sont ainsi prêtés au jeu (suicidaire ?) du classement prévisionnel.
Nos pronostics
Le classement d’Alexandre Lacoste :
1. Monaco – Tout simplement le plus bel effectif jamais vu en France. Un cinq majeur absolument démentiel pour la Betclic ÉLITE : James – Okobo – Diallo – Mirotic – Theis. Une forte envie de revanche après avoir terminé la saison 2024/25 fanny. La possibilité de faire trois cinq surdimensionnés pour le championnat, et Chimezie Metu en recrue bonus au cours de l’hiver ? Les turbulences de l’été semblent avoir été bien gérées, à confirmer sur la durée…
2. ASVEL – Si l’on était en 2016, Pierric Poupet aurait un effectif hors-normes à sa disposition : Thomas Heurtel, Nando De Colo, Edwin Jackson, David Lighty, etc. En dehors du vieillissement de l’effectif, potentiellement problématique pour une saison régulière à 68 matchs, des points d’interrogation sur la raquette : deux revenants de blessure au poste 4 et deux pivots seulement, un doute qui s’applique certes plus à l’EuroLeague qu’à la Betclic ÉLITE.
3. Paris Basketball – Le champion a été pillé au cours de l’intersaison et a perdu tous ses cadres, à l’exception de Nadir Hifi, épargné des griffes de l’AS Monaco. La méthode Tabellini, admirateur de Tuomas Iisalo, correspond à l’ADN du club. Le secteur intérieur est particulièrement fourni, mais Justin Robinson a le job le plus ingrat du championnat : faire oublier T.J. Shorts.
4. Le Mans – Une bonne tête d’équipe surprise de la saison, une nouvelle fois. Et un vrai prétendant au podium, si Paris ou l’ASVEL déçoivent. Une prolongation inattendue avec la star Hudgins en symbole d’une forte continuité et un recrutement malin. La grave blessure de Léopold Delaunay ternit le tableau.
5. JL Bourg – Systématiquement demi-finaliste depuis l’arrivée de Frédéric Fauthoux en 2022, la Jeu devrait continuer à naviguer dans les mêmes eaux. Une part d’inconnue quand dix des onze joueurs de l’effectif sont nouveaux, mais les pioches burgiennes semblent cohérentes. Comment le coach aura-t-il digéré la déception de l’Euro ?
6. Élan Chalon – Le tube du printemps pourrait-il devenir celui d’une saison complète ? La forte impression laissée au tournoi qualificatif de la BCL tend à prouver que oui. Le remplacement de Stockton par Leray amène forcément une tonalité différente au jeu, mais les prolongations du trio Hill – Cuthbertson – Gaudoux représentent une assurance tous risques.
7. Cholet – Des départs qui font mal (Diawara, Melvin III, Vautier) mais c’est le lot des équipes qui réussissent… Coach de l’année, Fabrice Lefrançois saura-t-il faire mieux qu’un one shot ? Les ingrédients (collectif, rotations rapides, intensité) seront les mêmes, les cadres aussi (Campbell, De Sousa, Ayayi). Tout pour confirmer, même si s’implanter dans le Top 4 serait une prouesse.
8. Nanterre – Un axe 1-5 rookie intrigant avec Zeigler et Saxen, sécurisé par la présence à leurs côtés de Benjamin Sene et Mathis Dossou-Yovo. Un troisième Américain, Donta Scott, qui n’a jamais connu l’Europe : la clef de la saison pour la JSF. Le début de l’ère Julien Mahé, qui sera attendu au tournant. L’attraction Yimga-Moukouri.
9. Dijon – Le retour de l’attelage Legname – Borg qui a fait des ravages dans le passé. Un back-court de très haut niveau avec les lutins Bibbins et Holston à la mène, complétés par Axel Julien au poste 2. D’autres valeurs sûres (Hrovat, Narace), qui viennent compenser quelques paris, notamment dans la raquette.
10. Limoges – Tout dépendra de l’axe 1-5 Frank Mason III – Gavin Ware, qui peut autant créer des ravages offensifs qu’une opération portes ouvertes de l’autre côté du terrain. Le mariage entre Dario Gjergja, 14 fois champion de Belgique en 14 saisons, et le CSP, qui a usé 13 coachs pendant le mandat du Croate à Ostende (!), détonne. Quelques forts joueurs, notamment des shooteurs, qui pourront décharger Nicolas Lang de toutes les responsabilités offensives.
11. Strasbourg – Inclassable. Avec autant de rookies, un fort potentiel pour autant être la surprise que le flop de la saison. L’arrivée d’Abdoulaye Ndoye pour Adama Bal, en dernière minute, renforce la caution expérience de l’équipe. Un nom prometteur sur le banc avec Janis Gailitis, mais on peut se demander si le retour de Marcus Keene était vraiment ce qu’il lui fallait à la mène.
12. Gravelines-Dunkerque – Survivre, toujours. Depuis l’incendie de Sportica lors du jour de Noël 2023, le BCM s’accroche à l’horizon 2028, et la livraison de sa nouvelle salle, pour tenter de rester en vie. La recette de Jean-Christophe Prat fonctionne, avoir gardé 50% de l’effectif, dont Tajuan Agee en dernière minute, est un atout. Il fallait bien cela pour compenser une prépa compliquée, entre arrivées au compte-goutte et absence qui s’éternise de Chris Babb.
13. Nancy – Enzo Goudou-Sinha à la mène, Stéphane Gombauld dans la raquette, un air de déjà-vu au SLUC ! Ce sont bien les seules certitudes pour une équipe avec seulement huit pros confirmés… jusqu’à la blessure du Guadeloupéen, qui a ouvert la porte à la signature du premier Thaïlandais de l’histoire du championnat, Martin Breunig. Un intérieur de 33 ans, pas du luxe pour encadrer l’équipe la plus jeune de la ligue, et la plus petite, puisqu’aucun joueur ne dépasse les 205 centimètres, à part l’Espoir Kany N’kouka dont on imagine bien qu’il n’aura pas un très grand rôle.
14. Boulazac – Puisqu’il faut bien se mouiller vraiment quelque part, ce sera sur le maintien du BBD ! Qui a tout à fait le potentiel pour y parvenir, que ce soit directement ou via les barrages. Le club n’a pas été épargné par les blessures pendant la préparation : la perte d’Hugo Robineau jusqu’à la fin octobre fait mal, la tuile Fitts aussi, même si Grandison semble être mieux qu’une roue de secours. De la continuité, un talent supérieur à la mène avec Warner, Snell et une Supercoupe réussie : cette fois, contrairement à La Rochelle, le promu ne sera pas une proie facile.
15. Saint-Quentin – L’après Julien Mahé sera forcément délicate. Mais un noyau a été conservé, ce qui facilite les choses. Avec sa folle ambiance, Pierre-Ratte est une salle où il est toujours difficile de gagner, ce qui est un atout de poids. Mais le recrutement comporte beaucoup d’inconnues, et l’équipe semble avoir moins de talent que l’an dernier, ce qui n’est pas rédhibitoire si cela est bien compensé par ailleurs. Peu en vue en présaison, Nick Johnson détient une grande partie du destin du SQBB entre ses mains.
16. Le Portel – Systématiquement annoncé dans la zone rouge sous l’ère Éric Girard, et pourtant toujours sauvé : en sera-t-il toujours de même avec Kenny Grant ? Un savoir-faire à pérenniser pour le nouvel entraîneur stelliste, qui a prouvé l’an dernier à Aix-Maurienne qu’il savait faire des miracles avec des bouts de ficelle. Le maintien tardif a compliqué la tâche dans le recrutement, surtout avec des finances toujours aussi étriquées : peu de marge de manœuvre et beaucoup de paris.

Le classement de Gabriel Pantel-Jouve :
1. Monaco – Effectif plus équilibré, plus de hiérarchie, plus d’adresse, et de la continuité / de l’expérience dans l’effectif. Le principal danger de Monaco est… Monaco. Notamment tous les soucis en coulisses.
2. ASVEL – Équipe expérimentée, bien coachée, il y a quand même du talent et des qualités physiques. Si la paire Massa/Vautier peut sembler encore un peu tendre pour l’EuroLeague qu’elle va découvrir, elle semble efficace pour la Betclic ELITE.
3. Cholet – Impressionnants en présaison. Il faut dire que de l’équipe de l’an passé, il reste du monde (De Sousa, Campbell, Ayayi et McNeace), avec un staff en place et des recrues intéressantes à commencer par le shooteur dans l’aile, Agbo. Le volume physique est énorme (Diawara, Diarra), ils ne seront pas drôles à jouer… Seule interrogation : la raquette dans son ensemble.
4. Paris – Très difficile de placer Paris tant l’équipe a été renouvelée, du staff à l’effectif. Ils peuvent être classés deuxièmes à septièmes / huitièmes, à mon sens, si la mayonnaise ne prend pas.
5. Élan Chalon – Dans la lignée de la deuxième partie de saison, Chalon peut se mêler à la lutte pour le Top 4 à mon sens. Le big 3 est toujours là (Hill – Cuthbertson – Gaudoux), le staff avec. L’arrivée de joueurs comme Darling ou Leray est une vraie plus-value et le Colisée va pousser.
6. JL Bourg – Beaucoup de nouveautés, de joueurs qui arrivent d’ÉLITE 2, mais l’effectif reste bien pensé et il y a un savoir-faire en Bresse pour aller décrocher les playoffs.
7. Le Mans – Équipe toujours sérieuse. Je continue à les voir haut, avec un bilan positif, mais la perte de Delaunay, en plus de Penda, me semble un coup dur. À voir aussi comme Hudgins va réagir face à toutes les défenses qui vont l’attendre de pied ferme.
8. Nanterre – Base expérimentée, ça sera solide et costaud, avec notamment la paire intérieure Dossou-Yovo / Prkacin à l’intérieur. De l’expérience à l’arrière (Sène, Lacombe). À voir quelle sera la compétitivité des joueurs US.
9. Dijon – À voir quelle sera la stabilité de l’effectif, la complémentarité. Il faudra toujours compter sur Dijon, ils peuvent même finir plus haut que cette 9e place supposée, si tout le monde est au niveau attendu.
10. Limoges – Équipe qui peut être très forte si l’axe 1-5 Mason – Ware est en forme et investi de manière régulière. Il y a du matos et un bon coach.
11. Strasbourg – Il est très difficile d’établir le potentiel de la SIG, parce que Marcus Keene est un super talent mais très irrégulier, et parce qu’il y a trois rookies dans l’effectif. De plus, Strasbourg a connu de trop nombreux changements depuis le départ de Lassi Tuovi.
12. Nancy – Effectif un peu court, notamment à l’extérieur (et encore plus à l’arrière). Il faut aussi ne pas commencer sur une pente descendante à cause des blessés. J’anticipe beaucoup de changements sur place.
13. Saint-Quentin – Cela repart presque de 0 après les années Mahé. Heureusement, il y a le public et des vétérans (Oniangue, Dally, Schwartz) qui ont une riche expérience.
14. Gravelines-Dunkerque – Prépa compliquée, beaucoup d’absents, effectif un peu court à mon sens… ça va être tendu sans améliorations.
15. Boulazac – L’effectif est bien pensé, le staff compétent, il y a du talent (notamment Warner) mais ils vont évidemment faire face à un tout autre niveau et ils ont manqué de chances en prépa avec beaucoup de blessures.
16. Le Portel – L’an 0 après Girard. Faute de budget, l’effectif semble un peu court pour aller chercher le maintien tant attendu. Heureusement, le Chaudron va pousser.

Le classement d’Arthur Puybertier :
1. Monaco – La Roca Team a renforcé son effectif déjà bien bien puissant l’an dernier, parvenu en finale d’EuroLeague, avec l’ajout d’un ancien MVP, rien que ça. Mike James semble de retour avec la même létalité, comme on l’a vu en SuperCoupe, Okobo arrive à son prime à mon avis… En plus d’une ligne arrière surpuissante, Monaco a, selon moi, la raquette la plus forte de la compétition avec Theis, Hayes et Mirotic entre autres.
2. Paris – Le club arrive dans « la saison la plus importante de son histoire » selon le président, David Kahn. Beaucoup de changements, mais un coach que j’aime énormément et qui s’inscrit toujours dans la volonté de jeu rapide du PB. Leur jeu atypique va pour moi être une nouvelle fois un caillou dans la chaussure des concurrents, avec un Hifi qui peut encore passer un step, et des recrues intéressantes, notamment Mouhammed Faye que je vais particulièrement surveiller.
3. ASVEL – Impressionnants en présaison. Il faut dire que de l’équipe de l’an passé, il reste du monde (De Sousa, Campbell, Ayayi et McNeace), avec un staff en place et des recrues intéressantes à commencer par le shooteur dans l’aile, Agbo. Le volume physique est énorme (Diawara, Diarra), ils ne seront pas drôles à jouer… Seule interrogation : la raquette dans son ensemble.
4. Le Mans – Le coaching de Vizade me séduit énormément. Recrutement intéressant + des joueurs conservés de manière inespérés qui vont peser lourd comme Hudgins. Son duo avec Bogues sera assurément létal.
5. JL Bourg – Je pense qu’un Mokoka de retour en France peut faire beaucoup de mal sous les ordres d’un coach qui l’apprécie. Kokila va pour moi aussi se montrer qu’il peut passer un nouveau step dans la raquette, et je trouve le recrutement assez malin, avec une adaptation rapide de Gach ou encore Lindo au championnat grâce à leur faculté athlétique et défensive.
6. Cholet – CB m’intrigue beaucoup, notamment dans l’impact et l’ampleur que peut prendre un Agbo dans le championnat, aux côtés de Campbell et d’autres vétérans. Sensation Towo-Nansi à suivre de très près également.
7. Élan Chalon – De même que pour d’autres écuries plus haut, le coaching de Delord est très intéressant et on l’a vu efficace. Le retour de Hill au top + Gaudoux qui est un des meilleurs joueurs français du championnat peut être l’un des duos les plus dévastateurs et complémentaires de Betclic ÉLITE . À observer également la production de Darling, très en vue en tour préliminaire de BCL, mais aussi des jeunes comme Leray.
8. Nanterre – L’arrivée de Julien Mahé dans ce projet, avec des éléments d’expérience toujours en place + le futur meilleur jeune de la saison Hugo Yimga-Moukouri + une belle saison de Prkacin + la recrue à l’intérieur, Dossou-Yovo, accompagnée de Saxen en provenance de NCAA : j’y crois énormément et ne serais pas surpris s’ils titillent le top 6 en cas de faillite devant.
9. Strasbourg – Comme Nanterre, très enthousiasmé par l’intersaison. Leur jeunesse sur certains postes est très séduisante. Je crois beaucoup en leur nouveau coach. Ben Gregg, Jahel Trèfle, Nelly Junior Joseph : beaucoup de hype à côté de joueurs valeurs sûres, comme Pfister ou Keene.
10. Dijon – Un peu déçu de l’intersaison : j’ai l’impression qu’ils ont perdu en qualité alors que certains concurrents ont pris le virage… J’avoue que c’est vraiment un feeling mitigé, je n’arrive pas à les voir plus haut.
11. Limoges – Avec la signature de Gavin Ware dans la raquette et le retour de Frank Mason dans un championnat qui lui réussit plutôt bien, le CSP peut-être une des belles surprises de la saison.
12. Saint-Quentin – La sensation que l’équipe a atteint son pic il y a un an, et qu’elle décline depuis. Je vois la tendance se poursuivre avec un effectif qui s’appauvrit et surtout le départ de Julien Mahé, dont on risque de conscientiser encore plus l’abattage sur les dernières saisons après son départ.
13. Nancy – Des leaders (comme Stéphane Gombauld) blessés d’entrée, Nancy risque d’en pâtir et manque peut-être un peu de puissance de frappe pour viser plus haut.
14. Gravelines-Dunkerque – L’équipe décline alors que la saison passée était déjà difficile, je les vois lutter contre la relégation jusqu’au bout. Je garderai un œil sur Mike Lewis II, qui pourrait surnager dans un contexte difficile, un peu comme Glynn Watson l’année dernièreL.
15. Boulazac – Malheureusement, le promu risque de rester dans le bas de classement. Hugo Robineau blessé, l’énigme Snell, j’ai peur que des paris tournent en leur défaveur.
16. Le Portel – Le couperet est passé très proche la saison passée, je ne vois pas les Portelois y échapper cette fois. Entre changement d’ère à la tête de l’équipe, effectif qui me laisse dubitatif, il y a trop d’inconnues à l’heure actuelle pour être plus optimiste…

Les pronostics de Chat GPT
Par ailleurs, comme l’an dernier, où elle n’avait d’ailleurs pas tapé si loin de la réalité (voir ci-dessous), nous avons demandé à l’intelligence artificielle ses pronostics pour le nouvel exercice 2025/26.
1. Monaco – Avec Mirotic, James et Theis, le collectif est monstrueux, et la profondeur de banc leur permet de viser le titre sans pression. Spanoulis a déjà marqué son arrivée en gagnant la Supercoupe. Favori n°1.
2. Paris Basketball – Champion sortant, Paris a vécu une petite alerte à la Supercoupe avec des défaites face à Le Mans et Boulazac. Leur puissance de feu reste énorme. La vraie inconnue sera la gestion d’un nouveau coach + l’EuroLeague.
3. Bourg-en-Bresse – Gros recrutement malin (McDowell-White, Mokoka, McGhee), profondeur d’effectif et Fauthoux continue son travail. Solide candidat Top 4.
4. Lyon-Villeurbanne – Groupe français renforcé et quelques recrues internationales, capable de monter en régime rapidement. Beaucoup de talent mais il faudra trouver une vraie identité collective.
5. Cholet – Gros potentiel athlétique et jeune (Diarra, Kountz, Justice, McNeace). Attention à l’inconstance mais ça peut taper tout le monde.
6. Le Mans – Effectif équilibré, Vizade donne une vraie identité, l’arrivée de Jeanne peut être une surprise énorme si son physique tient.
7. Strasbourg – Beaucoup de nouveaux, mais Marcus Keene + jeunes prospects NCAA (Joseph, Gregg, Traoré) peuvent surprendre. Coach Gailitis = pari intéressant.
8. Chalon-sur-Saône – Bon équilibre entre les jeunes et les cadres, et la présence de Delord sur le banc. Chalon a les armes pour s’installer confortablement dans le milieu-haut de classement.
9. Nanterre 92 – Nouveau coach (Mahé), Zeigler/Senglin/Lacombe = backcourt intéressant. Pas assez de puissance intérieure pour viser plus haut, mais dur à battre.
10. Dijon – Le duo Holston-Bibbins peut donner un backcourt létal, Hrovat reste fiable. Moins fort que par le passé, mais compétitif pour les PO. Effectif limité sur la durée et un peu vulnérable sur les rebonds.
11. Nancy – Quelques paris (Nolley, Fleming Jr, Cozart) et la constance de Gombauld. Ça peut sauver la place mais ça va batailler dur. Manque de profondeur pour rivaliser avec les cadors.
12. Gravelines-Dunkerque – Du tir (Babb, Lewis, Denis, Joplin) et de la taille, mais un collectif encore à construire. Une prépa inquiétante sur les bords.
13. Limoges – Les arrivées de Frank Mason et de Gavin Ware donnent une ossature intéressante, autour de Nicolas Lang. Mais beaucoup de nouveaux et un coach rookie en ÉLITE : ça peut mettre du temps à cliquer.
14. Saint-Quentin – Grosse perte de Nolan Traoré. Recrutement correct (Johnson, Caroline, Dally) mais le niveau global baisse.
15. Boulazac – Angelo Warner et Hugo Robineau ok, mais le pari Tony Snell à 34 ans + un effectif limité en taille/athlétisme = ça sent la galère.
16. Le Portel – Beaucoup de paris (Crawford, Smith, Fischer, Kruslin), coach rookie en ÉLITE. Ça me paraît trop léger, je les vois derniers.

L’an passé, Chat GPT avait vu plutôt juste…
Quelle valeur accorder aux pronostics d’une intelligence artificielle ? Évidemment aucun, comme à ceux, tout aussi éloignés de la réalité du terrain, de l’intelligence humaine d’ailleurs.
Toujours est-il que l’on se rend compte que Chat GPT n’avait pas tapé si loin de la réalité l’an dernier, hormis quelques grossières erreurs (Strasbourg, Limoges, Saint-Quentin), avec une marge d’erreur de 2,3 places par pronostic…
Son classement prévisionnel de la saison 2024/25, comparé à la réalité :
- Monaco (-2, en réalité 3e)
- ASVEL (parfait)
- Paris (+2, en réalité 1er)
- Strasbourg (-8, en réalité 12e)
- JL Bourg (parfait)
- Le Mans (parfait)
- Limoges (-7, en réalité 14e)
- Cholet (+4, en réalité 4e)
- Dijon (+1, en réalité 8e)
- Chalon (+2, en réalité 8e)
- Gravelines-Dunkerque (parfait)
- Nanterre (-1, en réalité 13e)
- Nancy (+4, en réalité 9e)
- Le Portel (-1, en réalité 15e)
- Saint-Quentin (+5, en réalité 10e)
- La Rochelle (parfait)
En moyenne, une marge de 2,3 places entre son pronostic et le classement final



















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